Le Génie du Vatican (Phidial de Montalte)

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Ce long monologue intitulé Le Génie du Vatican, par Phidial de Montalte, a paru en septembre 1969 dans la revue homophile Arcadie.

Texte intégral

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LE GÉNIE DU VATICAN


… raconté à Jean-Luc.




Regarde-le, Jean-Luc, il a ton âge et il est nu. C’est Ptéros, l’enfant ailé, dans un frisson de marbre. C’est Himéros, fièvre ondoyante, torrent intarissable, incandescent, à qui tu dois de te retourner bien souvent dans ton lit. C’est Antéros, le dieu couronné de fleurs qui fait se lamenter les vierges et s’entretuer les lions. Il conduit les passions funestes et rompt les âmes fières comme jadis, à Athènes, celles du jeune Timagoras et de son tout jeune bien-aimé. C’est Éros l’ingénu, l’artificieux Éros, le désirable cadet d’Aphrodite, turbulent mignon de l’Olympe et favori des Muses qui hantent l’Hélicon. Celui-là, tu le connais bien ; mais ce n’est pas un bébé joufflu. Tu peux te fier à Praxitèle dont il est le plus bel enfant ; il a ton âge et il est nu, c’est le Génie du Vatican.

Regarde-le sans crainte, approche-toi. Il est l’ami des jeunes garçons. Jamais tu ne le vis mieux qu’ici vêtu de sa grâce frémissante, tout entier recouvert des charmes pubescents, sagement enveloppé du désir insatiable dont il ne rougit pas, casqué de boucles capricieuses où se perd un front très pur que n’atteignent pas les graves pensées. Mise à part cette insolente feuille de vigne, jamais, te dis-je, l’Amour ne fut mieux habillé.

Regarde-le encore ; il a la pudeur resplendissante de ton âge et il est beau. Éros est le plus beau des dieux parce qu’il est le plus jeune. Il y a dans ce torse svelte une nervosité juvénile mal contenue, et les épaules rondes sont d’une douceur enfantine. Éros ne pouvait paraître avant qu’une première passion vînt allumer ses chairs délicates. Son cœur ardent fait rayonner sa chair, haleter sa poitrine d’albâtre et vibrer ses reins.

Qui pourra résister à la séduction de ces formes caressantes ? Son corps est d’une beauté suave, dit Platon, puisqu’il vit sans cesse au milieu des fleurs. Il faudrait, dit-il encore, un poète aussi grand qu’Homère pour dépeindre la délicatesse et la douceur du dieu. Zeuxis voulut bien essayer. Il fit le portrait d’Éros en fleur, c’est-à-dire dans le printemps de sa vie éternelle et couronné de violettes, sur un mur du palais de Philippe, à Pella. Alexandre put se mirer dans ce tableau qu’il n’offensait pas de sa propre image. Il aima ce dieu et Clitus qui lui ressemblait trop. Quant à Praxitèle… Mais as-tu bien vu, au moins, tout ce qu’il a mis dans notre Amour ?

Regarde-le une fois de plus. Admire-le. Devine-le. Est-ce qu’il s’éveille ? Est-ce qu’il s’endort ? Non. Je vais te dire ce qui lui est arrivé.

Voici l’Amour de Thespies, humide et tendre, alangui par l’amour. Ses yeux longs, remplis d’ombre, sont vaincus. Il s’est abandonné, Éros, brisé maintenant en ondulations tièdes et ne gardant plus sur ses lèvres rêveuses que l’aimable souvenir d’une folle émotion. Trompé par ses propres armes, il a subi sa propre loi. L’Amour de Thespies, tu vois, c’est l’histoire d’un drame heureux. Mais, que fais-tu, que cherches-tu ? Non, Jean-Luc, ne cherche pas l’arc, la flèche ni le carquois : Éros, quand il est nu, est tout entier sous les armes.


*
*   *


Il faudrait écrire, comme le fit jadis saint Basile, un traité « Aux jeunes gens, sur la manière de tirer profit des lettres helléniques », tant il est vrai qu’aujourd’hui nos pâles mœurs pâtissent du grave défaut d’un tel enseignement. On y lirait, par exemple, ce chapitre :

L’illustre Praxitèle, athénien de naissance, fut un enfant bien élevé. Il apprit, chez le cithariste, à chanter sans serrer les jambes. Le pédotribe, à grands coups de baguette fourchue, lui enseigna comment étendre la cuisse afin de ne rien montrer d’indécent aux gens du dehors — ce spectacle lui étant réservé. Après l’exercice, on l’obligeait à égaliser le sable de façon à ne pas laisser aux amateurs l’empreinte de sa virilité. En ce temps-là, aucun enfant n’avait la permission de se frotter d’huile plus bas que le nombril, aussi leurs jeunes organes se couvraient-ils d’un duvet léger comme celui des coings. Aucun, la bouche en cœur, n’approchait son amant pour se donner à lui par le regard (1). Regrettons, comme Aristophane, les bonnes manières du bon vieux temps.

Quand il fut en âge d’aller aux bains, il commença de s’exercer l’œil, suivant en cela le conseil de son père, Képhisodote, qui voulait faire de lui un artiste averti. Il y avait là tout un cénacle de musiciens et de poètes pour achever son éducation. Posidippe le Macédonien lui déclama son Hermaphrodite récemment composé. Xénarque le fit rire par son Priape promis au succès. Il lui fut bien difficile de ne pas applaudir au Paiderastes d’Antiphane, auquel Diphile, jaloux, répondit par son Paiderastai (2). Il lui prit l’envie de devenir célèbre à son tour. Il relèverait le défi de Platon.

C’est à Mantinée, en Arcadie, que Praxitèle entailla son premier bloc de Paros. Il débutait dans cette contrée sous de bons auspices. Après avoir dégrossi quelques figures pour assurer l’habileté de sa main, il quitta cette cité, emportant à Athènes le souvenir impérissable du jeune satyre qu’il avait rencontré dans un bosquet arcadien. Il cisela un Satyre de pierre blanche et dorée, le plus beau qu’on ait jamais vu. Se tournant ensuite vers son âme, il lui demanda s’il avait bien travaillé. Elle lui répondit qu’il devait ce chef-d’œuvre à l’Amour et que l’Amour réclamait son dû. Le moment était venu de s’essayer aux grandes ambitions, il ferait le portrait de l’Amour pour faire honte à Homère de ne l’avoir dépeint. Il se promit la gloire.

Se souvenant des gracieux chants d’Anacréon, Praxitèle courut à la palestre à la recherche d’Éros, car c’est là qu’on voyait passer les plus jolis dos de l’Attique. Un jeune Bathylle lui sourit et détourna pudiquement la tête. Il tenait son modèle : un Apollon dans la fleur de l’âge, celui-là même qu’avait chanté le poète de Téos, et qui avait, comme Cléobule, un doux regard de vierge… Il se mit aussitôt à l’ouvrage.

Représente-moi Bathylle, mon jeune ami, tel que je vais te le décrire. Fais-lui des cheveux luisants, noirs en-dessous et à la surface dorés par le soleil. Réunis-les en boucles ondulantes et négligées que tu laisseras tomber en liberté… Fais-lui des joues de roses, couvertes, comme la pomme, d’un léger duvet… que son cou d’ivoire surpasse celui d’Adonis. Fais-lui la poitrine et les mains de Mercure, les cuisses de Pollux… au-dessus de ses cuisses délicates, de ses cuisses qui recèlent la flamme, montre-le, dans sa candeur pudique, sollicitant déjà la déesse de Paphos. Mais, hélas ! ton art jaloux ne te permettra pas de montrer le dos de mon jeune ami, et c’est ce qu’il a de plus beau… (3).

Ainsi naquit l’Éros de Praxitèle. L’art du sculpteur, moins jaloux que celui du peintre, le dota d’un revers qui ne le laissait en rien à l’avers. La déesse de Paphos ne fut cependant pas sollicitée ; l’artiste lui réservait d’autres chefs-d’œuvre. Dès lors, le bruit se répandit de l’Hellespont aux Colonnes qu’un merveilleux génie ailé honorait la Grèce hospitalière. En réalité, Éros n’honorait que la maison de Praxitèle ; celui-ci n’ayant jamais consenti à s’en séparer le gardait précieusement par-devers lui. Jusqu’au jour où… il sacrifia Éros à Aphrodite. Mais c’est une autre histoire.

Il n’est personne, écrivait Varron, quelque peu d’instruction qu’il ait reçue, qui ne connaisse Praxitèle. On pourrait en dire autant de Phryné, la belle courtisane, la gloire des hétaïres de son siècle, le quatrième avant notre ère. Phryné, fille d’Epicléos, était thespienne de naissance, athénienne par vocation. Célèbre par sa richesse autant que par sa beauté, elle avait, vers la fin de sa carrière, assez de fortune pour offrir de relever à ses frais les murs de Thèbes qu’Alexandre avait mis à mal… « Alexandre les a détruits, Phryné seule les a rebâtis ». Si l’on admirait en Grèce la beauté superbe de cette fille, du moins ne s’en étonnait-on pas. En effet, nul ne pouvait ignorer que les enfants de Thespies étaient incomparablement beaux et vigoureux. Par quel miracle ? Était-ce parce que l’Amour y était honoré mieux que partout ailleurs ? Sans aucun doute. Depuis des temps immémoriaux, les habitants de la petite cité béotienne avaient élevé un temple à Éros Gonimos, auquel ils étaient redevables de leur nombreuse et belle progéniture. Le tailleur de pierre du Permessos avait réalisé l’antique effigie du dieu, une argos lithos, pierre brute d’allure fort suggestive qui fut plantée à l’entrée du ravin des Muses. C’est là-dessus qu’à l’occasion des Érotidies, tous les cinq ans (4), on faisait asseoir les jeune mariés, accourus de la Grèce entière pour avoir de beaux enfants. Personne alors n’aurait eu l’idée saugrenue d’installer des ailes sur l’étrange et vénérable représentation d’Éros fécond. Durant les fêtes tapageuses se déroulaient des jeux gymniques et des concours musicaux. Les pèlerins y trouvaient leur compte, car ces manifestations, souvent prolongées après le coucher du soleil, encourageaient la natalité. Enfin, on buvait à pleines coupes une eau sauvage qui avait, croyait-on, des vertus particulières. Mais ne serait-ce pas ici la clef de tous les mystères ? Dans son traité « Des plantes », Théophraste dit qu’il y a des lieux où l’eau fait faire des enfants (paidogonion) ; mais il n’en a trouvé qu’un seul exemple : Thespies (5).

Phryné posa pour Praxitèle ; Praxitèle aima la beauté de Phryné. Ici commencent les tribulations de l’Éros en fleur.

Le sculpteur avait une énorme dette envers son fastueux modèle ; car c’est elle, bien sûr, l’Aphrodite de Cnide ! De toutes les extrémités de la terre, on navigue vers Cnide pour y voir la statue de Vénus. Ce chef-d’œuvre fait la splendeur de leur ville. Pline fut transporté d’admiration. Lucien, de son côté, rapporte l’anecdote que personne n’ignore plus : Un jeune homme s’éprit autrefois pour cette statue… Un soir, au coucher du soleil, il se glissa derrière la porte du temple. Mais qui oserait vous dire clairement le crime de cette nuit impie ?… (6).

Phryné estima justement qu’une telle célébrité était due à ses mérites personnels. Elle exigea d’être payée en nature. Praxitèle ne put se dérober à ses désirs. Il lui offrit de choisir parmi ses plus beaux ouvrages, ceux qu’il gardait chez lui, le marbre qui conviendrait à ses délices. Il lui montra le Satyre illustre, et l’Apollon pubère chasseur de lézard ; il présenta Iacchos, l’enfant des mystères, et le Pan aux pieds de bouc ; et enfin, il découvrit à ses regards émerveillés le Pais Anteros, le génie ailé qu’on appelle l’Amour. Il est très tendre et comme rempli du désir de volupté… la rougeur de la vie semble colorer ses joues. Il montre un embonpoint délicat et la fraîcheur de son jeune corps… Ses yeux sont inondés de séduction et de grâce amoureuse (7). Phryné, comme Callistrate, se laissa séduire par les beaux yeux de l’Amour : Toutes les beautés qui embellissent l’Amour se retrouvent dans son image ; je reconnais ici le maître des dieux (8). Elle choisit sans plus hésiter ; elle demanda Éros pour venger Aphrodite que Praxitèle avait été le premier à représenter sans voiles. Celui-ci, prenant son ciseau, rendit un dernier hommage à son préféré ; il inscrivit cet émouvant message :

Praxitèle a représenté fidèlement l’amour dont il a souffert. Il en a tiré le modèle de son propre cœur. — Il m’a donné à Phryné pour prix de moi-même ; si je lance des philtres, ce n’est plus à coups de flèches, c’est par la fixité de mon regard.

Phryné, donc, emporta Éros. Mais ce fut pour le donner à Thespies. Fille pieuse et généreuse, elle n’avait pas oublié le jardin de ses enfances, le ravin des Muses ni le curieux bloc de pierre que toute jeunette encore elle s’amusait à enlacer de ses bras. Et puis, elle devait tant à Éros…

L’enfant aux ailes d’or devint le dieu tutélaire des Thespiens à la place de l’antique Gonimos. Il avait fière allure, on était fier de lui. C’est à lui désormais que furent présentés les jeunes gens venus des quatre coins de la Grèce pour l’honorer. Sa réputation grandit de jour en jour, traversa les mers et les siècles, tant il sut convaincre ses visiteurs de son charme envoûtant. Il n’est pas un sculpteur qui ne soit venu s’inspirer de ses formes parfaites, pas un poète qui n’ait composé pour lui au moins une épigramme, pas un musicien qui ne l’ait évoqué sur sa lyre. Si on l’aima en discours, en chansons et en pensées on l’aima aussi… en actes, à tour de bras ! Par quelle ironie du destin connut-il le sortilège qu’on aurait cru réservé à la Vénus de Cnide ? On ne saurait le dire. Pourtant, à l’évidence, leurs sorts était liés. Si l’on en croit Athénée, il subit plusieurs fois cet assaut inouï qui était encore, malgré sa démence, un étrange hommage rendu à sa beauté (9).

Thespies n’est plus rien, dit Cicéron, mais elle conserve l’Éros de Praxitèle, et il n’est aucun voyageur qui n’aille la visiter pour connaître cette belle statue. On ne peut s’étonner du succès extraordinaire du jeune dieu de Thespies. Qui donc, mieux que les Grecs, s’y connaissait en beauté et en science amoureuse ? Ô Grecs ! qui consacrez dans vos maisons les statues de vos dieux comme des colonnes d’impureté (10), vous ne fîtes jamais de colonne aussi pure que celle-ci…

L’Éros de Thespies vécut en Béotie jusqu’à la fin de l’ère ancienne. Caligula devenu empereur se l’appropria, et le fit venir à Rome. Claude, bon prince, le rendit aux Thespiens. Néron le reprit et le plaça au portique d’Octavie. C’est là qu’il fut détruit par le feu, à peu près à l’époque où disparurent aussi Herculanum et Pompéi. Heureusement, Ménodore d’Athènes en avait fait une copie fidèle. Elle arriva, on ne sait trop comment, à Messine, dans la villa d’un riche amateur, Héius. Verrès en fit sa proie pour seize cents sesterces, la mit à l’honneur dans sa collection. De là, nous perdons sa trace ; mais ne pouvons-nous pas nous irriter, avec Cicéron, de l’injure qui lui fut faite ?… « Héius avait un très bel oratoire, monument antique de la piété de ses ancêtres. On y voyait quatre statues célèbres, toutes d’un travail exquis et faites pour charmer non seulement un connaisseur et un homme d’esprit tel que Verrès, mais nous autres ignorants, comme il nous appelle… L’une des quatre était un Cupidon de marbre, ouvrage de Praxitèle… Claudius, étant édile, emprunta ce Cupidon pour orner le forum dans une fête qu’il donnait au peuple romain. Il s’empressa ensuite de le rendre à Héius et à Messine dont il était l’hôte et le protecteur. Eh quoi ! lorsque Claudius Pulcher a fidèlement restitué ce trésor, c’était donc pour que Verrès sautât dessus ? Mais ce Cupidon ne cherchait pas une maison de débauche, une école de prostitution ! Il ne demandait pas à passer chez l’héritier d’une courtisane !… »

Éros disparu, on se consola de sa perte avec son petit frère de Parion — également de la main de Praxitèle — connu au Louvre sous le nom de Génie Borghèse. Dans ce même temple se trouve aussi l’Éros Farnèse, jeune complice de notre ami, qui aurait bien son mot à dire dans cette longue histoire. Bref, on se consola comme on put, jusqu’au jour où un fameux coup de pioche donné à Centocelle sur l’emplacement des jardins d’Héliogabale, non loin de Saint-Jean-de-Latran, ramena au soleil celui qu’on attendait depuis dix-huit siècles. Visconti, aussitôt, reconnut son visage céleste. Éros entra au Vatican…

… Cet homme qui connaissait la Grèce… Peut-être, un de ces soirs, parlerait-il de l’Amour de Thespies. Il devait avoir vu ce marbre au Vatican, si Rome l’avait retenu sur le chemin d’Athènes, et il trouverait un biais pour le mettre dans la conversation, même à propos du pape… (11).

Le Père de Trennes, parti trop tôt du collège, ne put raconter à Georges l’histoire de l’Amour de Thespies. C’est pourquoi, Jean-Luc, je viens de te la dire tout au long. Et toi, quand tu seras grand-père, tu la raconteras à tes petits-enfants. Promis ?


Phidial de MONTALTE.



  1. Aristophane. Les Nuées.
  2. Poetarum comicorum graecorum fragmenta. F. H. Bothe. Paris, 1855. Comœdia media.
  3. Odes anacréontiques. XV, Sur le jeune Bathylle.
  4. M. Robert Flacelière, professeur à l’Université de Paris, spécialiste de Plutarque, traduit pentaétéricon par tous les quatre ans (cf. Eroticos, p. 41, 42. S. Éd. Les Belles Lettres, Paris, 1952).
  5. Athénée, Deipnosophistarum libri. Is. Casaubon. Lib. II, 41 f : Ibi est aqua quæ procreandis liberis fœcunda perhibetur.
  6. Lucien. Dialogue des Amours. — R. Peyrefitte en a fait une traduction, éd. Flammarion.
  7. Callistrate. Stat., III.
  8. Ibid.
  9. Deipnosophistarum libri. Is. Casaubon. Lib. XIII, 591 a et b, 605 f, 606 a : Statuæ.
  10. Clément d’Alexandrie : Traité contre les Païens (amore captus Cleisophus).
  11. Roger Peyrefitte : Les Amitiés Particulières. Éd. princ. p. 194 et 195.


Voir aussi

Source

  • « Le Génie du Vatican : … raconté à Jean-Luc » / Phidial de Montalte, in Arcadie : revue littéraire et scientifique, 16e année, n° 189, septembre 1969, p. 407-414. – Paris : Arcadie, 1969 (Illiers : Imp. Nouvelle). – 52 p. ; 22 × 14 cm.

Articles connexes

Notes et références