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'''Pierre Arditi''' est un comédien [[France|français]] de théâtre, de cinéma et de télévision, né le [[1er décembre|1{{Exp|er}} décembre]] [[1944]] à Paris. | '''Pierre Arditi''' est un comédien [[France|français]] de théâtre, de cinéma et de télévision, né le [[1er décembre|1{{Exp|er}} décembre]] [[1944]] à Paris. | ||
Il a joué | Il a joué le rôle principal dans le film ''[[Messieurs les enfants (Pierre Boutron)|Messieurs les enfants]]'' de [[Pierre Boutron]] ([[1996]]), ainsi que dans les séries télévisées ''[[Passeur d’enfants (Franck Apprederis)|Passeur d’enfants]]'' de Franck Apprederis ([[1994]]-[[2000]]) et ''[[Sauveur Giordano (Christine Miller)|Sauveur Giordano]]'' de Christine Miller ([[2001]]-[[2007]]). | ||
==Néonazisme, délocalisation et pédophilie== | ==Néonazisme, délocalisation et pédophilie== |
Dernière version du 25 décembre 2012 à 12:44
Pierre Arditi est un comédien français de théâtre, de cinéma et de télévision, né le 1er décembre 1944 à Paris.
Il a joué le rôle principal dans le film Messieurs les enfants de Pierre Boutron (1996), ainsi que dans les séries télévisées Passeur d’enfants de Franck Apprederis (1994-2000) et Sauveur Giordano de Christine Miller (2001-2007).
Néonazisme, délocalisation et pédophilie
Le 12 juin 2012, dans l’émission de Philippe Vandel Tout et son contraire sur France Info, Pierre Arditi est interrogé sur sa participation, en tant qu’« homme de gauche », à des publicités en faveur du Crédit Lyonnais (banque française dont les comportements extrêmement criticables, dans les années 1990, ont été à l’origine d’un des plus grands scandales financiers de l’histoire). Il se justifie ainsi :
- Pierre Arditi, Tout et son contraire, Philippe Vandel, France Info, 12 juin 2012
On retrouve ici le classique amalgame médiatique entre néonazisme et pédophilie, entrecoupé par une affirmation tendant à prouver le caractère « de gauche » et socialement irréprochable de l’acteur. Une trilogie de l’abomination est ainsi dessinée : il n’est rien de pire, politiquement, que d’être nazi ; il n’est rien de pire, socialement, que de licencier ; et il n’est rien de pire, sexuellement, que d’être pédophile.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Sur le site de France Info : Pierre Arditi ne s’est jamais vraiment accepté (écouter la partie « Tout et son contraire : Pierre Arditi parle de son image » de 3 min 15 s à 3 min 35 s). Première diffusion le 12 juin 2012 ; rediffusé le 24 décembre 2012.