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| | | 20130924={{Extrait|id=5382525|Les femmes intelligentes adorent les pédérastes. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=6|page=125}}}} | ||
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| | | 20130925={{Extrait|id=5388707|À l’encontre de ce que répètent les imbéciles, ce n’est pas la foi chrétienne qui est répressive, mais le moralisme agnostique. Une société chrétienne est une société de pécheurs, c’est-à-dire une société qui pratique le pardon. Une société athée est une société de justes, c’est-à-dire une société qui ne tolère que l’impeccabilité. Les héros du christianisme sont le larron, le publicain, la prostituée, l’enfant prodigue, et c’est à eux que dans les prières qui précèdent la communion se compare chaque chrétien orthodoxe. Les héros de l’athéisme sont des puritains haineux et glacés. | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=129}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« | |||
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| | | 20130926={{Extrait|id=5413992|Un pédéraste n’est jamais gâteux, car sa vie est une lutte incessante, dans laquelle il faut vaincre ou mourir. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=16}}}} | ||
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| | | 20130927={{Extrait|id=5414696|— Comment croire en ce gros dieu à barbe blanche, si je n’aime pas les poils ?<br>— Et le petit Jésus ?<br>— Ils ne l’ont pas crucifié enfant. Ça me gâche tout. | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=27}}}} | ||
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| | | 20130928={{Extrait|id=5415606|C’est justement avec ceux qu’on aime qu’il faut être le plus exigeant, par rapport à soi et par rapport à eux. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=4|page=97}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20130929={{Extrait|id=5435813|Grâce aux dieux, il n’y a pas que les femmes : il y a les petits garçons. Uniquement hétérosexuel, je me serais senti coincé par les traîtresses sirènes, entièrement à leur merci ; polysexuel, j’ai une échappatoire. Les stoïciens nomment le suicide une porte de sortie ; les jeunes garçons, eux aussi, sont une porte de sortie. Peut-être est-ce pour cela qu’à un quidam qui me disait : « Au fond, quand on vous lit, on se rend compte qu’il n’y a que deux choses qui vous captivent : le suicide et les petits garçons » (ce qui est inexact), j’ai spontanément répondu : « C’est la même chose. » Les gamins, comme la pensée du suicide, sont dans ma vie un élément d’équilibre, une soupape de sûreté. | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=47}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« | |||
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| | | 20130930={{Extrait|id=5450524|Même si j’appartenais à une autre religion, je savourais tout ce que le catholicisme donne de raffinement à l’amour grec. Pour quelques drames, qui auraient été provoqués ailleurs par d’autres motifs, quelle pépinière d’Alexis et de Corydons est un collège religieux ! Ce n’est pas seulement à cause d’éventuels pères de Trennes, car l’enseignement laïc a les siens ; mais c’est parce que les religieux sont à peu près les seuls hommes à s’occuper vraiment des garçons et que le fait de s’occuper vraiment des garçons, crée des rapports amoureux entre hommes et garçons et, ce qui est plus singulier, entre garçons. Il va sans dire que, dans la majorité des cas, ces rapports restent d’ordre spirituel, mais l’amour grec est-il autre chose qu’une spiritualité virile, qui parfois surmonte l’attrait des corps et parfois y succombe ? | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page= | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. IV|page=25}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20131001={{Extrait|id=5477414|Chaque adolescent a besoin de rencontrer un aîné qui soit un éducateur, un guide. Aux mères qui agitent hystériquement contre moi l’épouvantail de la police et de la prison, je rétorque toujours, sans me démonter, que pour avoir initié leur progéniture à une sphère infiniment supérieure au marécage familial, et cela dans tous les ordres, on devrait non me punir, mais me décorer. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=132}}}} | |||
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| | | 20131002={{Extrait|id=5485550|Le gosse ne doit être pris qu’à petites doses. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=302|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20131003={{Extrait|id=5492659|Si dans notre société les très jeunes garçons et filles sont d’un commerce enchanteur, c’est parce que les adultes ne leur portent pas d’intérêt, que ce sont des gosses mal aimés, et qui n’ont même pas conscience d’être des objets de désir et d’amour. Aussi n’ai-je aucune nostalgie d’un statut officiel de la pédérastie. Que la chasse aux gosses demeure un sport périlleux, et défendu ! Moins il y aura de vilains messieurs qui séduiront les petites filles et les petits garçons, mieux ça vaudra. Le véritable amant, comme le vrai collectionneur, est le contraire d’un prosélyte. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=84-85}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20131004={{Extrait|id=5503221|« Notre intimité » qui avait une base physique, était purifiée par ce qui allait plus loin que les sens. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. IX|page=67}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20131005={{Extrait|id=5508351|Je chanterai ici ce que j’aime, je chanterai la tendre troupe des petites filles et des jeunes garçons. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=17}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20131006={{Extrait|id=5564874|Je ramène tout à l’amour et pour moi, il est grec. La pédérastie est la forme la plus inépuisable de l’amour, parce que c’est l’amour de la jeunesse. Même Don Juan ne saurait être amoureux de toutes les femmes, tandis qu’un pédéraste est théoriquement amoureux de tous les garçons.<br> ''Chéris sans nombre qui n’êtes jamais assez !''<br>a dit Verlaine. Don Juan peut finir par renoncer aux femmes et devenir moine ; un vrai pédéraste est sur la brèche jusqu’à son dernier jour. | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=15-16}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20131007={{Extrait|id=5568799|Aimer quelqu’un : dévorer des yeux sa vie me console de la mienne. M’observer me dégoûtait : le contempler n’est que douloureux, et me nettoie de moi. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=13}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131008={{Extrait|id=5590958|L’oppression des enfants est première, et fondamentale. Elle est le moule de toutes les autres. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=41}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20131009={{Extrait|id=5606727|{{personnage|Le Chœur}} : Ainsi les hommes, le bonheur est sous eux, mais ils ne veulent pas y boire, à cause de raisons bêtes. J’ai pour leur bêtise un dégoût profond. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131010={{Extrait|id=5611918|{{personnage|Georges}} : J’avais cru que c’était ceci ou cela qui donnait un sens à ma vie : je voyais maintenant que c’était d’aimer. Gillou avait été bien des fois assez décevant : ah ! que ne l’avait-il été davantage ! J’aurais pu me libérer de lui. Mon affection me rongeait et m’empoisonnait. On s’adapte à tout, à l’inconfort, au froid, à la continence, au risque quotidien ; mais non à l’ignorance du sort de ce qu’on aime. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=224|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20131011={{Extrait|id=5638691|''Boys and women are cattle of same colour.'' « Les garçons et les femmes sont bétail de même espèce. » Shakespeare.<ref>Extrait d’une tirade de Rosalinde dans ''Comme il vous plaira'' (''As you like it''), acte III, scène 2 :<br>''I set him every day to woo me: at which time would I, being but a moonish youth, grieve, be effeminate, changeable, longing and liking, proud, fantastical, apish, shallow, inconstant, full of tears, full of smiles, for every passion something and for no passion truly any thing, as '''boys and women are for the most part cattle of this colour'''; would now like him, now loathe him; then entertain him, then forswear him; now weep for him, then spit at him.''</ref><br>Les gosses, comme les femmes, désirent qu’on s’occupe d’eux.<br>Chez les jeunes garçons qui n’ont autour d’eux que des femmes, un besoin du père, ou plutôt de l’homme, qui n’est pas sans analogie avec celui qu’ont les femmes.<br>Délivrance de sortir d’eux, comme de sortir des femmes.<br>Leurs envies brusques de femme enceinte.<br>Le geste d’un enfant (toujours de moins de treize ans) quand, debout devant vous et vous faisant face, il pose les mains sur vos bras, appuie la tête contre votre poitrine et reste ainsi quelques instants. Exactement le geste classique de la femme amoureuse. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=297|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20131012={{Extrait|id=5651356|Certains ne peuvent aimer que dans l’estime. Aimer de cœur, et même aimer sensuellement. […]<br>Mais c’est là une sorte particulière d’amour. Car il y a l’amour qui aime sans avoir besoin d’estimer. L’amour qui, à tout ce qu’il voit de mal dans l’être aimé, répète inlassablement : « Ça n’a aucune importance. » C’est l’amour des amants. […]<br>De ces deux amours je ne sais lequel préférer. J’ai ressenti plutôt le premier, toute ma vie. Aujourd’hui, j’imagine de pouvoir ressentir aussi le second. Amélioration, ou relâchement ? Disons que chacun de ces deux amours a sa beauté, et qu’il n’est pas nécessaire de donner à l’un ou à l’autre la prééminence. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=306|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20131013={{Extrait|id=5709368|Proverbe florentin du {{s-|XV|e}} :<br>''Quando vòi prendere trastullo, usa spesso col fanciullo.''<br>Quand tu veux t’amuser, use souvent du garçon. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | {{Réf Livre|titre=[[Le Porretane (Giovanni Sabadino degli Arienti)|Le Porretane]]|auteur=Sabadino degli Arienti|éditeur=Giuseppe Laterza & figli|année=1914|page=69|section=Novella XIII|année d'origine=1483|collection=Scrittori d’Italia}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p> | |||
| 20131014={{Extrait|id=5736323|{{personnage|Salvador Dali}} : <ref>Propos tenu lors d’un déjeuner de Florence Gould.</ref><br>L’amour, c’est quelque chose qui se passe dans la tête et qui finit par trois petites gouttes dans le tuyau du pipi. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=6|page=257}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20131015={{Extrait|id=5737386|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Vous, vous aimez les beaux. Moi, j’aime les pauvres. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=58}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131016={{Extrait|id=5757633|{{personnage|L’Infante}} : Échouer à convaincre l’être auquel on veut tant de bien ! Comment le bien que l’on veut à un être ne resplendit-il pas sur votre visage et ne passe-t-il pas dans le son de votre voix, tellement qu’il soit impossible de s’y méprendre ? | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=152|section=''La reine morte'' (1942)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | |||
| 20131017={{Extrait|id=5773953|Ma patrie profonde est l’exil. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=109}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | |||
| 20131018={{Extrait|id=5778985|On ne parlerait pas de l’inceste parents-enfants, car il n’est qu’un cas particulier de la relation adulte-enfant qui est l’une des plus riches lorsqu’elle est vraiment réciproque, on n’en parlerait pas, n’était ce sacré rapport de forces. Il gâte tout. Comment démêler désir de soumission ou crainte ? ou intimidation, ou forme tacite de chantage ? ou autorité naturelle… ?<br>Si, version mère-fils, pouvoir parental et pouvoir mâle vont en sens contraire, version père-fille ils s’additionnent. Il faut voir là la raison d’une plus grande fréquence du dernier cas, et, donc, l’importance du facteur pouvoir dans l’affaire.<br>Manifeste ou non, le rapport de pouvoir est là, dès lors l’inceste est du viol. Dommage. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=88}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20131019={{Extrait|id=5807618|L’amour oblige l’un à devenir l’autre. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. III|page=41}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20131020={{Extrait|id=5828411|Étant donné les conditions, spéciales, faites aux jeunes sur le marché du travail — sans parler du marché du chômage où on ne peut entrer du reste que si on a déjà assez travaillé pour ça — les seuls débouchés sont : les casses (où les jeunes se font exploiter par les receleurs, aux environs de 10 % de la valeur des vols) ; et la prostitution, en expansion parmi les enfants de familles pauvres, aussi bien pour les garçons que pour les filles (clientèle mâle pour les deux) ; s’ils se débrouillent pour ne pas se faire « protéger » (exploiter) par des professionnels, ils se trouvent là du moins à égalité d’exploitation avec les adultes, voire un peu plus cotés, vu leur fraîcheur. C’est le clair résultat obtenu par une réglementation « protectrice » dans une société fondée sur l’exploitation. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=152}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20131021={{Extrait|id=5837222|Dans le domaine de la pédophilie et des délits sexuels, un bon nombre de gens jouissent par délits interposés. […] Une des meilleures façons de se défendre de son trouble, c’est de condamner les autres. Les puritains, ce sont les plus grands obsédés sexuels au monde, il faut bien le dire. C’est vrai aussi pour la pédophilie. Vous savez comme moi que parmi les gens se trouvant au premier rang de la marche blanche, on a tout de même détecté des vrais pédophiles. C’est assez classique. On se défend contre des choses qu’on a en soi en condamnant les autres.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p> | |||
| 20131022={{Extrait|id=5848601|Pendant des siècles, d’innombrables « pauvres bougres » grillèrent sur les bûchers d’une morale insensée, qui prétendait appliquer les lois du christianisme. Il était temps, pour les théologiens, de s’apercevoir que les empereurs Constantin, Valentinien et Théodose furent des monstres en réservant l’autodafé aux hérétiques de l’amour. | |||
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20131023={{Extrait|id=5857725|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | |||
| 20131024={{Extrait|id=5873535|Quand j’ordonne à un enfant : « Fais ceci ! », il n’apprend qu’à ordonner : « Fais ceci ! »<br>Quand je punis un enfant, il n’apprend qu’à punir un enfant.<br>Quand je subis un despote, je l’imagine à douze ans, hideux, honteux, glacé, sans camarades, la tête bleue de gifles. Impatient d’avoir grandi : dans ses rêves heureux, l’humanité entière y passera, et les femmes d’abord. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=88}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131025={{Extrait|id=5918502|Ces jolis gamins dont la race élégante pullule les rues, en Italie. | ||
{{Réf Livre|titre=[[L’Élu (Achille Essebac)|L’Élu]]|auteur=Achille Essebac|éditeur=L’Édition Moderne, Ambert et C{{Exp|ie}}|année=1902|page=non précisée|chapitre=IV}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p> | |||
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<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
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Version du 26 septembre 2013 à 06:53