« Les onze mille verges (extraits) – 7 » : différence entre les versions
Création |
m |
||
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
La scène se passe en Sibérie, à proximité de Port-Arthur. | La scène se passe en Sibérie, à proximité de Port-Arthur. | ||
<br><br> | <br><br> | ||
''[[Les onze mille verges (extraits) – | ''[[Les onze mille verges (extraits) – 5|Extrait précédent]]'' | ||
{{Citation longue | {{Citation longue | ||
| | | | ||
Ligne 38 : | Ligne 38 : | ||
La tête grimaçait affreusement, mais son aspect redoubla la rage érotique des deux baiseurs qui culetèrent avec beaucoup plus d’ardeur. | La tête grimaçait affreusement, mais son aspect redoubla la rage érotique des deux baiseurs qui culetèrent avec beaucoup plus d’ardeur. | ||
Le général lâcha la tête, puis saisissant sa femme par les hanches il lui introduisit son membre dans le cul. | Le général lâcha la tête, puis saisissant sa femme par les hanches il lui introduisit son membre dans le cul. […] | ||
[…] | |||
<br><br> | <br><br> | ||
}} | }} |
Version du 4 octobre 2013 à 20:10
Extrait du roman érotique de Guillaume Apollinaire Les onze mille verges ou Les amours d’un hospodar.
Chapitre VII
La scène se passe en Sibérie, à proximité de Port-Arthur.
Extrait précédent
[…]
Le général Mounine, pendant ce temps, avait fait entrer un petit garçon chinois, tout mignon et apeuré.
Ses yeux bridés clignotaient tournés vers le couple en amour.
Le général le déshabilla et lui suça sa quéquette grosse à peine comme un jujube.
Il le tourna ensuite et fessa son petit cul maigre et jaune. Il saisit son grand sabre et le plaça près de lui.
Puis il encula le petit garçon qui devait connaître cette manière de civiliser la Mandchourie, car il agitait d’une façon expérimentée son petit corps de lope céleste.
Le général disait :
— Jouis bien, mon Haïdyn, je vais jouir aussi.
Et sa pine sortait presque entière du corps de l’enfant chinois pour y rentrer prestement. Lorsqu’il en fut à la jouissance, il prit le sabre et, les dents serrées, sans arrêter le culetage, trancha la tête du petit Chinois dont les derniers spasmes lui procurèrent une grande jouissance tandis que le sang jaillissait de son cou comme l’eau d’une fontaine.
Le général décula ensuite et s’essuya la queue avec son mouchoir. Il nettoya ensuite son sabre et ayant ramassé la tête du petit décollé la présenta à Mony et à Haïdyn qui maintenant avaient changé de position.
La Circassienne chevauchait Mony avec rage. Ses tétons dansaient et son cul se haussait frénétiquement. Les mains de Mony palpaient ces grosses fesses merveilleuses.
— Regardez, dit le général, comme le petit Chinois sourit gentiment.
La tête grimaçait affreusement, mais son aspect redoubla la rage érotique des deux baiseurs qui culetèrent avec beaucoup plus d’ardeur.
Le général lâcha la tête, puis saisissant sa femme par les hanches il lui introduisit son membre dans le cul. […]
Chapitre IV | Chapitre V | Chapitre VII |