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| | | 20160429={{Extrait|id=6601859|{{personnage|Annie Teacher}} : <ref>C’est souvent la jeune Anglaise Annie Teacher qui exprime le point de vue libertin de l’auteur, plutôt que le personnage central Jean Guibert.</ref><br>Sachez donc que je ne viendrais jamais à un rendez-vous d’amour, si ce n’était le premier.<br>[...]<br>Il n’y a d’amour que si c’est chaque fois la première fois. | ||
{{Réf | {{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=123}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | ||
| | | 20160430={{Extrait|id=6630331|L’enfance est une institution, non un fait. Comme fait, l’enfance (première partie de la vie humaine, dit prudemment le dictionnaire Robert) est un état mouvant aux limites imprécises. Comme institution, elle va de la naissance à un âge fixé par décret. On dit « enfants », « adolescents », ou « jeunes » selon les besoins de la cause. La Loi dit « mineurs », et c’est la seule expression claire.<br>Les sociétés modernes ont légalisé une discrimination fondée sur une différence de force musculaire. Mineur signifie : moindre. Plus petit. Inférieur. Lesdits « enfants » sont un ensemble d’humains plus faibles au combat au corps à corps, constitué par les plus forts en catégorie, et soumis à un statut et à un traitement spéciaux.<br>Le statut est la privation de l’autonomie.<br>Le traitement, appliqué par l’autorité adulte, à laquelle les mineurs ne peuvent se soustraire, consiste à éliminer du potentiel inné les éléments indésirables, incontrôlables, ou (...) | ||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section= | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=39}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20160501={{Extrait|id=6666619|L’honneur de la nature humaine, dans les êtres les plus ténébreux, est d’avoir des zones de lumière qui semblent confirmer son origine spirituelle. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=3|page=84}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | |||
| 20160502={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=69}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20160503={{Extrait|id=6735926|{{personnage|Georges}} : Je l’aime, et je voudrais l’estimer autant que je l’aime, et je ne peux pas. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=252|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20160504={{Extrait|id=6789039|{{personnage|Georges}} : La plupart des enfants, en France, sont des enfants abandonnés. Ou bien on ne s’occupe pas d’eux. Ou bien on s’occupe d’eux si mal. Ou bien on s’occupe d’eux pendant quelque temps, avec intelligence, et ensuite on les abandonne. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=254|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20160505={{Extrait|id=6817761|N’importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu’ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) excellent dans l’art de se faire draguer. J’ai dragué beaucoup de moins de seize ans, mais beaucoup de moins de seize ans m’ont dragué. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=42}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20160506={{Extrait|id=6846851|L’étoile jaune du pédophile que les médias lui avaient collée au front. | |||
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=8|page=118}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | |||
| 20160507={{Extrait|id=6850831|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce. | |||
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'', « Le jeudi de Bagatelle »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | |||
| 20160508={{Extrait|id=6869290|N’aimer que la jeunesse et la grâce, c’est se condamner à aimer peu souvent et peu longtemps. | |||
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=178}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20160509={{Extrait|id=6878564|Partout où il y a beauté masculine, il y a en germe la pédérastie. Et comme il y a la beauté de la force, la beauté de la puissance, la beauté de la faiblesse, voire la beauté de la laideur, personne ne peut être sûr d’y échapper. | |||
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20160510={{Extrait|id=6884147|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}} | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20160511={{Extrait|id=6893810|Je crois, comme les anciens Grecs, que la vérité doit triompher par sa propre force. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=10|page=233}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20160512={{Extrait|id=6914076|La bêtise est une stratégie de l’intelligence : l’enfant s’adapte, dès sa naissance, à son entourage d’imbéciles, il y conquiert une place en les imitant. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20160513={{Extrait|id=6915965|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Ni tabac ni alcool désormais. Les enfants ne fument, ni ne boivent. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=130}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | ||
| | | 20160514={{Extrait|id=6963523|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours. | ||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20160515={{Extrait|id=6973963|Tout vrai amour doit rompre avec la société. | |||
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=198}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20160516={{Extrait|id=6975223|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Il y a des amours précieuses et rares, comme il y en a de vulgaires. | |||
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=96}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20160517={{Extrait|id=6978068|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Une hérésie en faveur de l’enfance, qui oserait la condamner ? | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | ||
| | | 20160518={{Extrait|id=7000367|{{personnage|Pasiphaé}} : Tous voient ce que je vois, et nul ne le désire. Pourquoi être différente des autres, sans l’avoir voulu, sans rien y pouvoir ? Le printemps des Crétois est en fleurs. La chienne appelle le chien, et reçoit une réponse. La louve appelle le loup, et reçoit une réponse. Mais moi il n’y a que l’anathème pour le cri de ma chair et de mon cœur.<br>{{personnage|Le Chœur}} : Si elle souffre du jugement qu’elle porte sur son acte, je la blâme. Mais si elle souffre seulement de l’anathème qui accueillerait cet acte, qui ne l’excuserait ?<br>{{personnage|Pasiphaé}} : Au fond de moi, je ne sens pas que ce que je vais faire est mal ; et je ne m’explique pas pourquoi ce le serait. Et le ciel me regarde, et la mer, et ils ne me condamnent pas. | ||
{{ | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87-88|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}} | ||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20160519={{Extrait|id=7012768|Outre l’art du mensonge, une âme sensible qui veut échapper aux faux devoirs à quoi la société prétend l’assujettir doit impérativement acquérir ce qui, loin d’être un défaut, est la plus précieuse des vertus : un résolu, persévérant et inexorable égoïsme. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=4|page=43-44}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | ||
| | | 20160520={{Extrait|id=7052945|Seule la compagnie des enfants me fait préférer ne plus en être un. | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20160521={{Extrait|id=7065248|Les enfants ne nous intéressent qu’autant que nous pouvons bêtiser avec eux. Dans leur prime saison, qui ne les aime ! « Qu’il est gentil ! » — « Oh, le mignon ! » : la mièvre sentimentalité, les ineptes zézaiements. Mais, onze ans accomplis, fini de plaire ; on les traite avec agacement et dédain. Rien d’étonnant : c’est que leur âme est née. Quand leur âme sera morte — elle meurt chez le plus grand nombre aux alentours de la dix-huitième année, — la sympathie et l’attention reviendront d’elles-mêmes. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=72|section=''La relève du matin'' (1920), « La gloire du collège »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p> | ||
| | | 20160522={{Extrait|id=7134887|Les nazis incarnent le mal, et chacun le sait, au lieu que les faux-culs du nouvel ordre mondial et moral passent aux yeux de l’opinion publique pour l’incarnation du bien. C’est cette imposture qui est plus terrible que tout. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=10|page=264}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | ||
| | | 20160523={{Extrait|id=7141887|{{personnage|Georges}} : J’ai connu des enfants, et des enfants du peuple, qu’on pouvait entretenir pendant une heure sans lassitude, bien plus, avec goût et intérêt. Ils étaient fins, ils réagissaient juste, ils avaient des trouvailles, une espèce de génialité… | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=248|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20160524={{Extrait|id=7165708|Il n’est pas de bonheur qui n’ait sa source et sa fin dans les sens, mais le charme de l’enfance est de promettre avant de pouvoir tenir. Encore tient-elle volontiers, à un âge que ne soupçonnent pas les bonnes gens. L’auteur de ''Lolita'' a étonné en dévoilant l’existence des « nymphettes ». Les satyrisques étaient les petits compagnons des satyres, les panisques de Pan et, si l’occasion leur en était offerte, les Lolitos supplanteraient les Lolitas.<br> ''… Que deviendraient les familles,<br> Si les cœurs des jeunes garçons<br> Étaient faits comme ceux des filles ?''<br>Le chevalier de Boufflers, qui était pédéraste, fait semblant de poser là une question qu’il avait résolue : les cœurs des garçons sont aussi ardents que ceux des filles et leurs corps plus précoces et plus exigeants. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. III|page=22-23}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20160525={{Extrait|id=7182226|''To be twelve is an attainment worth the struggle. A boy, just twelve, is like a Frenchman just elected to the Academy.<br>Distinction and honour wait upon him. Younger boys show deference to a person of twelve: his experience is guaranteed, his judgment, therefore, mellow; consequently, his influence is profound. Eleven is not quite satisfactory: it is only an approach. Eleven has the disadvantage of six, of nineteen, of forty-four, and of sixty-nine. But, like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven. Similarly, twenty is worthy, and so, arbitrarily, is twenty-one; forty-five has great solidity; seventy is most commendable and each year thereafter an increasing honour. Thirteen is embarrassed by the beginnings of a new colthood; the child becomes a youth. But twelve is the very top of boyhood.''<br>—<br>Avoir douze ans est une position digne d’être poursuivie. Un garçon qui vient (...) | ||
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=308-309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}} | |||
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<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
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<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | ||
| | | 20160526={{Extrait|id=7212968|Coucher avec un/une enfant, c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=75}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20160527={{Extrait|id=7225993|{{personnage|Philippe Vandel}} :<br>C’est vrai que votre maman, quand vous étiez adolescent ou préadolescent, vous a conseillé de commencer votre vie sexuelle — pardon de parler de ça, mais c’est vous qui l’avez raconté — par une liaison avec un homme plus âgé ?<br>{{personnage|Stéphane Hessel}} :<br>Ma mère avait l’esprit libre, comme vous l’avez déjà dit ; considérait l’amour socratique, l’amour tel que Platon le décrit, comme une expérience extrêmement importante pour un jeune homme ; et se disait : « Mon fils, qui veut avoir toutes les expériences intéressantes possibles, pourquoi pas ? » Elle est tombée à côté de la plaque parce que j’aime beaucoup les femmes. Mais elle aurait pu avoir une influence dans ce sens sur moi. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Émission|auteur=Stéphane Hessel|émission=Tout et son contraire|réalisateur=Philippe Vandel|diffuseur=France Info|date=12 mars 2012}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Stéphane Hessel]]</p> | |||
| 20160528={{Extrait|id=7226582|S’il y a un âge où un garçon a besoin de contacts sexuels, c’est l’adolescence. La société adulte n’a aucun droit de lui interdire d’étancher cette soif. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=49}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
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Version du 9 mai 2016 à 07:29