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| 20100914=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | | 20100914=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | ||
{{Extrait|id=7494826|Je sais que j’ai la meilleure part, et qu’elle ne me sera point enlevée. | {{Extrait|id=7494826|Je sais que j’ai la meilleure part, et qu’elle ne me sera point enlevée. | ||
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{{Extrait|id=7535573|{{personnage|Le roi Gustave III de Suède}} :<br>On n’est jamais ridicule que de ne plus avoir quatorze ans, c’est-à-dire de ne plus avoir de beauté. | {{Extrait|id=7535573|{{personnage|Le roi Gustave III de Suède}} :<br>On n’est jamais ridicule que de ne plus avoir quatorze ans, c’est-à-dire de ne plus avoir de beauté. | ||
{{Réf Livre|titre=Le Prince des Neiges|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1961|page=119}}}} | {{Réf Livre|titre=Le Prince des Neiges|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1961|page=119}}}} | ||
| 20100916=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7559901|J’ai horreur de Socrate, de Platon, de toute la mélasse sublime dont ils enrobent le désir et le plaisir, j’ai horreur de la pédérastie à prétentions pédagogiques. On peut caresser un jeune garçon sans se croire obligé de lui donner une leçon de maths ou d’histoire-géo dans la demi-heure qui suit. Et qu’on ne nous casse pas les pieds avec l’amour des âmes. L’âme, ça n’existe pas, et si ça existe, ça n’existe qu’incarné, chair dorée, duveteuse. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=32}}}} | |||
| 20100917=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7573358|Quel plus beau souvenir pour un homme, que de savoir qu’il a été désiré par un autre homme quand il était jeune garçon ? | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=324}}}} | |||
| 20100918=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7598375|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Ma satisfaction à moi, c’est de peser l’âme des enfants. | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=248}}}} | |||
| 20100919=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7613014|{{personnage|Le baron S.}} : <ref>À propos de l’amour des garçons, après avoir été “soigné” sans succès par [[Richard von Krafft-Ebing|Krafft-Ebing]].</ref><br>Je suis surpris […] d’avoir pu demander qu’on me guérisse de ce mal et non pas qu’on me le donne. | |||
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=187|section=« Le baron de Gloeden »}}}} | |||
| 20100920=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7680942|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Rien ne m’est plus délassant que la compagnie des enfants. Ils me rendent le goût de vivre. Je ne crois à la vie qu’en les regardant, comme ce Romain ne croyait au printemps que lorsque les roses étaient venues. J’ai renoncé à emmener des amis et des amies, avec qui et entre qui les choses ne tardent jamais à se gâter. Enfin, on ne peut changer chaque année d’amis et d’amies, au lieu que l’on peut changer d’enfants, quand ce sont les enfants des autres. En tout cas, il ne peut plus y avoir d’autre société que la leur, pour le trop grand voyageur que j’ai été. | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=224}}}} | |||
| 20100921=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7819354|Je suis absolu, dans mes goûts, dans mes amours, dans mes antipathies, comme un enfant. Être absolu, c’est nécessairement être injuste. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|section=« Avant-propos »|page=9}}}} | |||
| 20100922=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7850877|Ce sont les adultes qui parlent pour les enfants, comme les blancs parlaient pour les noirs, les hommes pour les femmes. C’est-à-dire de haut, et de dehors. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=7-8}}}} | |||
| 20100923=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7857273|Être rebelle à seize ans, c’est la banalité : chaque adolescent(e) un peu sensible l’est. Ce qui en revanche est difficile, et rare, c’est de l’être encore dans l’âge adulte. La société n’a pas besoin d’originaux, elle a besoin de citoyens dociles, et son filet est si sûrement lancé que rarissimes sont ceux/celles qui passent au travers des mailles. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« Conclusion »|page=156-157}}}} | |||
| 20100924=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7949514|La question cardinale est pour moi celle-ci : la femme et l’homme peuvent-ils avoir un langage commun ou bien, murés dans leurs différences, sont-ils condamnés à être l’un pour l’autre soit des étrangers, soit des adversaires ? Ma réponse est que la complémentarité des deux sexes est une illusion platonicienne, qui exprime (comme d’ailleurs la pédophilie, mais tout différemment) cette nostalgie paradisiaque de l’androgyne qui est un des plus anciens, et plus beaux rêves de l’humanité ; noble illusion donc, mais illusion. La femme et l’homme ne sont pas faits pour s’accorder (au {{s-|XVII|e}}, ''accordé'' signifiait « qui s’est engagé par un contrat de mariage, fiancé »), mais pour se combattre et se détruire. (...) | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=48-49}}}} | |||
| 20100925=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=7997239|Les mouvements intérieurs sont également réglementés : tu n’as pas de désirs sexuels avant le moment prescrit par tes adultes, ni vers qui tu veux (sens obligatoire vers sexe opposé), sauf permissivité (blâmable et rare). Ils n’aiment pas qui ils veulent hors de la famille, Je ne veux pas que tu voies A., — et dans la famille ils aiment, cela va de soi (les parents n’étant, sur ce point, pas plus libres). | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=44}}}} | |||
| 20100926=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8034935|Certes, chaque être humain est un condamné à mort en sursis, mais l’amoureux de l’extrême jeunesse vit cette fatalité de façon plus aiguë et désespérée que quiconque. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=148}}}} | |||
| 20100927=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8048061|Il y a des degrés pour la vertu, il ne devrait pas y en avoir pour le vice. Il ne trouve d’excuse que dans l’accomplissement impitoyable de sa destinée. Il lui faut aspirer aux sommets ou aux abîmes, tout sauver ou tout perdre, abdiquer ou triompher. Ses vrais triomphes sont rares. | |||
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=7}}}} | |||
| 20100928=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8072423|L’univers où se meuvent les enfants (je veux dire : que leur imposent les adultes) est pour l’ordinaire d’une telle bassesse, d’une telle vulgarité, d’une telle déliquescence intellectuelle et morale, que c’est faire œuvre sainte que de leur apprendre à le mépriser et de les aider à s’en échapper : auprès de moi, c’est à une autre hauteur qu’ils respirent, ce sont d’autres horizons qu’ils découvrent. Je n’ai pas de goût pour la pédagogie, mais je crois à la fonction socratique de l’adulte. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=131-132}}}} | |||
| 20100929=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8107439|Les adultes ont peur. La « peur panique » soi-même.<br>Le plaisir, c’est dangereux. Rougeur subite de la jeune mère qui, la première fois qu’elle donne le sein, se met à jouir, personne ne l’avait prévenue et elle sent bien que c’est mal. Et ces nourrices autrefois qui baisaient les petits enfants au sexe tandis qu’elles les allaitaient. Ça devait faire des repas un moment assez riche. Et ces petits qui se caressent, devant le monde les innocents, le monde se détourne gêné, et la maman retire la main en disant que c’est pour son bien. Au petit, oh les hypocrites, c’est eux qui sont troublés. Les adultes se glacent devant les enfants parce qu’ils ont peur pour eux-mêmes et leur vertu si chèrement acquise. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=185}}}} | |||
| 20100930=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8154132|Je deviens citoyen du monde quand j’apprends, saisi de rêverie, qu’il naît sur terre trente-neuf millions de garçons chaque année. Je vois une aube, un arc-en-ciel. Tous sont beaux, à coup sûr, tous me parlent avec plaisir : et leur nombre me convaincrait déjà de vivre trente-neuf siècles. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=54}}}} | |||
| 20101001=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8220503|Croissance des enfants du voisinage et des amis. Tristesse vingt fois vécue : voir ''quelqu’un'' devenir n’importe qui. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}} | |||
| 20101002=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8246791|Un enfant est en permanence sous le regard des adultes. Il n’y a que le tôlard qui en soit au même point. Lui, c’est pour le punir. Les enfants, c’est pour les « protéger ». | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=43}}}} | |||
| 20101003=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8256630|On ne peut être (ou rester) fat en courant les garçons dans la rue ; sinon, ils vous rient au nez. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=5|page=91}}}} | |||
| 20101004=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8312019|Une mère qui, veuve ou divorcée, élève seule son fils est moins hostile qu’une mère en puissance d’époux à une amitié entre le jeune garçon et un aîné. Dans la mesure du possible, je choisis mes petits amis dans les familles désunies, chaotiques, et je m’en trouve toujours bien. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=108}}}} | |||
| 20101005=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8360507|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Comment ai-je été assez fou pour croire que cette société exécrée laisserait vivre et aimer en paix un innocent caché parmi la foule ? | |||
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=132}}}} | |||
| 20101006=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8392636|{{personnage|L’Abbé de Pradts}} ''(s’adressant à Souplier)'' :<br>Dieu a créé des hommes plus sensibles que les pères, en vue d’enfants qui ne sont pas les leurs, et qui sont mal aimés, et il se trouve que vous êtes tombé sur un de ces hommes-là. | |||
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=I|scène=II|page=28-29}}}} | |||
| 20101007=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8433816|Les très jeunes sont tentants. Ils sont aussi tentés. Je n’ai jamais arraché ni par la ruse ni par la force le moindre baiser, la moindre caresse. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=44}}}} | |||
| 20101008=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8437566|Le pédéraste, l’amant des très jeunes, garçons et filles, est voué à une existence de rebelle, d’outsider, d’hérétique, une existence qui est un continuel pied de nez aux grandes personnes, à leurs soucis, à leurs ambitions, à leur mode de vie. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=81-82}}}} | |||
| 20101009=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8458376|Dieu est au-delà de tous les noms de Dieu, au-delà de l’idée de Dieu. Pour pressentir ce que peut être l’existence de Dieu, nous n’avons que deux voies, qui d’ailleurs se confondent : l’amour et la beauté. L’amour de la créature et la beauté du monde créé sont les vitraux à travers quoi nous recevons, en transparence, la lumière du Christ, « soleil de justice ». | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« Le Christ »|page=26}}}} | |||
| 20101010=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8460927|Le Français moyen est un homme que la pédérastie révolte et que le saphisme excite. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=4|page=137}}}} | |||
| 20101011=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8499053|Après avoir cherché toute ma vie, je méritais finalement d’avoir trouvé. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{Exp|e}} partie, chap. II|page=12}}}} | |||
| 20101012=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8502694|[[Henry de Montherlant|{{personnage|Henry de Montherlant}}]] :<br>Je ne reconnais aucun devoir, hors celui du libre arbitre. | |||
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=26}}}} | |||
| 20101013=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8571020|La frontière est mince entre les amours. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=12|page=262}}}} | |||
| 20101014=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8620509|L’imprudence, la confiance, la naïveté, l’enthousiasme de la plupart des pédérastes les exposent à plus de mésaventures que les autres, – on dirait même que beaucoup les recherchent comme un stimulant. C’est la difficulté de trouver le compagnon rêvé qui leur inspire cette boulimie, prise quelquefois pour une névrose. | |||
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=16}}}} | |||
| 20101015=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</div> | |||
{{Extrait|id=8640371|{{personnage|L’Abbé de Pradts}} ''(s’adressant au Supérieur)'' :<br>L’affection, j’en avais une pour cet enfant. Vous l’avez ruinée et en quelque sorte déshonorée, elle qui était si propre. | |||
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=III|scène=VII|page=164}}}} | |||
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Version du 16 septembre 2010 à 21:13