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| | | 20110113={{Extrait|id=2961668|Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce qu’on entend d’ordinaire par cette formule — le véritable ''troisième sexe''. | ||
{{Extrait|id= | {{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=21}}}} | ||
{{Réf Livre|référence= | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20110114={{Extrait|id=2981510|Un garçon de quatorze ou quinze ans, même s’il est très épris de vous, sait obscurément qu’il ne passera pas toute sa vie dans vos bras. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre= | {{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=59}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20110115={{Extrait|id=2996332|Chacun donne ce qu’il a : l’oiseau son chant, la fleur son parfum, le créateur son œuvre, la cuisinière ses bons petits plats, le sage vieillard sa sagesse, le riche son argent, le bel enfant sa beauté. En outre, si violence il y a, la violence du billet de banque qu’on glisse dans la poche d’un jean ou d’une culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier. On a vu pire.<br>Le pire, précisément, ce sont les parents abusifs, possessifs, castrateurs ; ce sont aussi, je l’admets volontiers, les assassins, les types qui violent et qui tuent. Les sadiques. Les ogres. Les sadiques sont rares, beaucoup plus rares que ne le laisse entendre la presse qui, complice de l’ordre familial et bourgeois, ne manque pas, chaque fois qu’il s’en présente un, de le monter en épingle, de lui consacrer d’énormes et horrifiques manchettes. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=45}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20110116={{Extrait|id=3012356|Je garde un désir inguérissable pour quelques êtres que, jadis, je n’ai pas su approcher ou convaincre. Ou ceux qui disparurent avant que j’aie assez joui d’eux. En revanche, ceux qui m’ont rassasié — leurs semblables, pourtant — je n’y pense qu’à peine. Leur souvenir est bien rangé, avec les pacotilles qui s’y rattachent. Peut-être pour mes vieux jours, s’ils sont environnés d’intouchables. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=13}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | |||
| 20110117={{Extrait|id=3138094|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Admirable ambiguïté de la phorie qui veut qu’on possède et maîtrise dans la mesure où l’on sert et s’abnie ! | |||
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=348}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | |||
| 20110118={{Extrait|id=3191698|La distinction est un charme plus grand que la beauté, comme la grâce, car il est plus rare. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=6|page=138}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20110119={{Extrait|id=3191780|Les raisons que les grandes personnes avancent pour interdire aux moins de seize ans d’avoir une vie amoureuse sont semblables aux preuves de l’existence de Dieu chères à la théologie scolastique : elles ne tiennent pas debout. | ||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section= | {{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=139}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | |||
| 20110120={{Extrait|id=3193542|L’un des charmes d’une liaison avec un gamin ou une gamine, c’est précisément que la famille et l’école occupant une grande partie de son temps, on ne le/la voit qu’assez peu, que ces brefs instants sont consacrés entièrement à l’amour, et que l’on échappe ainsi à la pesanteur du tête-à-tête permanent, ce tombeau de la passion. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=58}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20110121={{Extrait|id=3201538|{{personnage|Abel Tiffauges}} (30 octobre 1938) :<br>L’école devrait prendre garde qu’à force de craindre que les enfants ne souffrent d’une quelconque inadaptation, elle n’en fasse tout à coup des suradaptés.<br>Le suradapté est heureux dans son milieu, « comme un poisson dans l’eau ». Et aussi bien le poisson est typiquement suradapté à l’eau. Ce qui veut dire que son bonheur est d’autant plus fragile qu’il est plus complet. Car si l’eau devient trop chaude, ou trop salée, ou si son niveau baisse... Alors, il vaut mieux être simplement et même médiocrement ''adapté'' à l’eau, comme le sont les animaux amphibies, lesquels ne sont tout à fait heureux ni dans l’humide, ni dans le sec, mais s’accommodent moyennement de l’un et de l’autre. | |||
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=93-94}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | |||
| 20110122={{Extrait|id=3248719|Que préférer en lui : son désir ou son plaisir ? Il faisait de l’un et de l’autre quelque chose de spirituel, où Priape avait pour père, non Bacchus, mais Apollon. Avec lui, j’aurais voulu surmonter même le désir, tellement il me comblait au delà du plaisir. Ses baisers étaient, à eux seuls, une volupté. Je ne m’en lassais pas et il ne se lassait pas de m’en donner. On aurait cru que le baiser avait été inventé par lui et pour lui. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. VII|page=57}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20110123={{Extrait|id=3297794|L’ami d’un enfant est comme un chien d’aveugle. | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=137}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | |||
| 20110124={{Extrait|id=3326235|Nombreux sont les procès qui révèlent moins les fautes de l’accusé que l’abjection des magistrats. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=10}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20110125={{Extrait|id=3371254|{{personnage|Mathias}} :<br>L’amour, c’est autre chose que de faire l’amour. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=84|section=« La maîtresse de piano »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20110126={{Extrait|id=3379200|Il est inouï que, pendant vingt siècles, la religion, la morale et la loi se soient coalisées pour mutiler le genre humain d’un droit et d’un plaisir qui lui appartiennent, qu’elles en aient fait un vice, une tare et même un crime. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{Exp|e}} partie, chap. XIII|page=194}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20110127={{Extrait|id=3383240|Il nous faut placer des figures héroïques au fronton de notre existence, non seulement pour montrer à un vain peuple « les grands ancêtres », mais parce qu’un amour contre lequel s’est liguée la société, nous oblige à cultiver un certain héroïsme. Le seul fait d’accepter cet amour dans notre prime jeunesse est déjà une victoire sur des préjugés imbéciles. Cette affirmation de principe, ne serait-ce qu’envers soi-même, est appelée plus tard à se renouveler constamment. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. V|page=50}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20110128={{Extrait|id=3395079|L’image adulte de « l’Enfant » est si profondément imprimée que personne ne sait plus regarder ce qui est sous le nez. Pour nettoyer les yeux adultes, il faudrait prendre à peu près le contre-pied de l’idée reçue : les enfants sont plus complets, ils sont solides, héroïques (voir à quoi ils résistent !), adroits, capables, graves, profonds, leur intelligence est vaste et déliée, ils sont subtils et malins, ils savent se débrouiller, surtout seuls, etc. Cette description est-elle tellement plus fausse que l’autre ? | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=49}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20110129={{Extrait|id=3399254|Nos amours avec les très jeunes de l’un et l’autre sexe sont souvent furtifs, sans lendemain, un baiser échangé sous une porte cochère, une rapide étreinte dans un bosquet, pas vus, pas pris, adieu petite, bonne chance petit, on ne se reverra plus, et la brièveté de telles aventures ne permet assurément pas à des liens affectifs sérieux de se créer. Mais est-ce le propre des liaisons avec les gosses ? De semblables brèves rencontres ne se nouent et ne se dénouent-elles pas quotidiennement, à chaque instant, entre hommes et femmes adultes ? Et puis, est-il donc si important d’être aimé en retour ? L’essentiel n’est-il pas que la jeune personne se laisse aimer ? | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=55-56}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20110130={{Extrait|id=3427467|Parmi les regrets de ma vie, figure celui de ne pas avoir découvert plus tôt que les plaisirs d’une nuit en troisième classe dépassent de loin ceux d’une nuit en couchette.<ref>Dans les trains français, les wagons de troisième classe, où voyageaient les familles les plus pauvres, n’ont été supprimés qu’en [[1956]]. À la fin du même chapitre, Peyrefitte évoque à nouveau les aubaines qu’un pédéraste pouvait y rencontrer.</ref> | |||
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=51}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20110131={{Extrait|id=3516627|Les vrais éducateurs vont au-devant des problèmes et des intérêts de la jeunesse, au lieu de les fuir. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{Exp|e}} partie, chap. II|page=15}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20110201={{Extrait|id=3518238|Qu’il ait le bon carquois ou le mauvais, que sa flèche aille à droite ou à gauche, que sa tête soit couverte de cendres ou de roses, l’Amour est toujours l’Amour. | |||
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=8}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20110202={{Extrait|id=3535738|{{personnage|John Hopkins}} ''(à l’auteur, lors d’une promenade dans la médina de [[Marrakech]])'' :<br>« Les très jeunes, ça prend beaucoup de temps ». | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=58}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20110203={{Extrait|id=3542854|Que les violences soient punies avec rigueur, les amoureux de l’extrême jeunesse sont les premiers à le souhaiter. Ce que nous combattons, c’est cette idée qui semble être la pierre d’angle de la présente législation, que l’éveil de l’instinct et des pratiques sexuels chez l’adolescente ou chez le jeune garçon est nécessairement nuisible et funeste à leur épanouissement. Ce n’est pas vrai. Ce qui est néfaste, c’est la continence obligatoire à l’âge de la plus grande ardeur ; ce sont les contacts sensuels mécaniques, sans tendresse, sans amour, comme ces gosses qui flirtent avec trois partenaires différents (es) au cours d’une même surprise-partie ; mais les lettres de ma maîtresse écolière publiées dans ''Les Moins de seize ans'' témoignent, me semble-t-il, qu’une relation d’amour entre un adulte et un enfant peut être pour celui-ci extrêmement féconde, et la source d’une plénitude de vie. Que l’on ait quatorze ou quarante ans, ce qui importe, c’est la (...) | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« | {{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=130-131}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | ||
| | | 20110204={{Extrait|id=3543621|''Der moderne Singverein, wie virtuos auch immer, hat nichts zu tun mit dem transparenten Knaben- und Jünglingschor der Bach-Kantaten.''<br>Les chorales modernes, même virtuoses, n’ont rien de commun avec la transparence du chœur de garçons et d’adolescents des cantates de Bach. | ||
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach, | {{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach (1685-1750), Das Kantatenwerk = Sacred cantatas|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Classics International|année=1994|page=178, 268|section=« Die Aufführungspraxis » (1971)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p> | ||
| | | 20110205={{Extrait|id=3708630|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Tout le monde est fait pour l’amour : on n’a vécu que si l’on a aimé. | ||
{{ | {{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=112}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20110206={{Extrait|id=3804668|Les enfants sont d’extraordinaires pêcheurs, les meilleures têtes chercheuses créées à ce jour. Ayant une intuition au moins globale du sort qui les attend, ils sont, sans même y penser, à l’affût des coups de bol. Le coup de bol peut être n’importe quoi. Il n’a rien à voir avec enfance heureuse ou malheureuse. Heureusement. Il n’est pas nécessairement un événement important — au sens où l’entendent les grandes personnes qui n’y entendent rien en importance de toute façon et heureusement. Bien que, un événement important peut aussi faire l’affaire. N’importe quoi.<br>Au premier rang des coups de bol : l’amour. La rencontre. De quelqu’un, de quelque chose, ou bête, ou image. Et ça peut même arriver à l’école, venir même d’un/une prof. Toute connaissance est une histoire d’amour. | |||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=117}}}} | ||
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{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20110207={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20110208={{Extrait|id=3833318|Les amours africaines sont faciles, mais médiocres. Il y a une certaine démission de l’homme occidental en quête d’amours homosexuelles, à franchir la Méditerranée. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=62}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20110209={{Extrait|id=3839053|L’amour représente la beauté véritable, celle que Dieu, selon le mot de Hafiz, « contemple par les yeux de l’amant ». Et pour cause, puisque ce dieu est l’Amour. | ||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{Exp|e}} partie, chap. VIII|page=170}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20110210={{Extrait|id=3852738|La grande jeunesse court avec son flambeau, et sa lumière est fugitive. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| 20110211={{Extrait|id=3881531|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Ne voyez-vous donc pas que le secret d’une éducation bien dirigée, c’est de prévenir, non la pratique, mais la connaissance du mal ? Loin de la prévenir, vous l’induisez, par des conseils et des sanctions. Il faut faire confiance à des êtres sains et bien portants. Il ne faut les surveiller que par manière d’acquit, ou, comme moi, par plaisir, mais certainement pas par conviction. Aucune surveillance ne les empêchera d’être ce qu’ils sont.<br>J’ai cru, deux ou trois fois, dans mon enfance, perdre ma qualité d’enfant, et je me souviens de la joie que je ressentis, en me rendant compte que j’avais passé dans le feu sans me brûler, dans la boue sans me crotter et par les piques sans me piquer. | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | |||
| 20110212={{Extrait|id=3956543|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>En France, plus encore que partout ailleurs, les enfants sont regardés comme des objets sacrés, qui ne doivent pas quitter le tabernacle. L’homme qui s’intéresse à eux est toujours suspect. | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=226}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | |||
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Version du 15 janvier 2011 à 14:40