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| | | 20131124={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20131125={{Extrait|id=6474157|Si les gosses sont plaqués, ils plaquent eux aussi, et méchamment. Les serments d’amour éternel, les projets d’avenir, que survienne une dispute un peu grave, et tout est remis en cause. Ils passent en un instant de la ferveur absolue à la radicale absence. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=60}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20131126={{Extrait|id=6488552|La pédérastie, seule forme possible de la paternité pour celui qui répugne à fonder une famille. Paternité spéciale, mais paternité tout de même. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | {{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=73-74}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20131127={{Extrait|id=6497079|J’incline à croire que la valeur générale d’un être, à quatorze ans, c’est celle qu’il gardera toute sa vie. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=272|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de quatorze ans]]</p> | |||
| 20131128={{Extrait|id=6502148|{{personnage|Ferrante}} : On peut avoir de l’indulgence pour la médiocrité qu’on pressent chez un enfant. Non pour celle qui s’étale dans un homme. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=112|section=''La reine morte'' (1942)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | ||
| | | 20131129={{Extrait|id=6550190|Cela paraît invraisemblable et scandaleux que des personnes vivent cette expérience sans trouver cela abominable. C’est tout à fait politiquement incorrect, mais ce n’est franchement pas nouveau. On le sait depuis toujours. On ne veut pas le savoir, mais c’est comme ça. Il y a un certain nombre de personnes qui ont eu des expériences en tant que mineurs avec des personnes plus âgées et qui ne voient pas ça comme une violence, un désavantage et qui voient ça comme quelque chose de plutôt positif et favorable. On a beau s’en indigner, mais ce qu’un certain nombre de personnes vivent, c’est cela.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p> | ||
| | | 20131130={{Extrait|id=6584388|L’angoisse est le compagnon silencieux de l’enfance mais qui s’en doute ? | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=89}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20131201={{Extrait|id=6591141|[...] les petits garçons, toujours à s’envoler, à disparaître, présences fugitives, feux-follets avec qui il est impossible de rien fonder. | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« | {{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=70}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | ||
| | | 20131202={{Extrait|id=6601859|{{personnage|Annie Teacher}} : <ref>C’est souvent la jeune Anglaise Annie Teacher qui exprime le point de vue libertin de l’auteur, plutôt que le personnage central Jean Guibert.</ref><br>Sachez donc que je ne viendrais jamais à un rendez-vous d’amour, si ce n’était le premier.<br>[...]<br>Il n’y a d’amour que si c’est chaque fois la première fois. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=123}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | ||
| | | 20131203={{Extrait|id=6630331|L’enfance est une institution, non un fait. Comme fait, l’enfance (première partie de la vie humaine, dit prudemment le dictionnaire Robert) est un état mouvant aux limites imprécises. Comme institution, elle va de la naissance à un âge fixé par décret. On dit « enfants », « adolescents », ou « jeunes » selon les besoins de la cause. La Loi dit « mineurs », et c’est la seule expression claire.<br>Les sociétés modernes ont légalisé une discrimination fondée sur une différence de force musculaire. Mineur signifie : moindre. Plus petit. Inférieur. Lesdits « enfants » sont un ensemble d’humains plus faibles au combat au corps à corps, constitué par les plus forts en catégorie, et soumis à un statut et à un traitement spéciaux.<br>Le statut est la privation de l’autonomie.<br>Le traitement, appliqué par l’autorité adulte, à laquelle les mineurs ne peuvent se soustraire, consiste à éliminer du potentiel inné les éléments indésirables, incontrôlables, ou simplement superflus, pour ne conserver et développer que ceux utiles à l’exploitation. C’est proprement une mutilation. Une mutilation corporelle, pas seulement un conditionnement mental. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=39}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20131204={{Extrait|id=6666619|L’honneur de la nature humaine, dans les êtres les plus ténébreux, est d’avoir des zones de lumière qui semblent confirmer son origine spirituelle. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=3|page=84}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20131205={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité. | ||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=69}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20131206={{Extrait|id=6735926|{{personnage|Georges}} : Je l’aime, et je voudrais l’estimer autant que je l’aime, et je ne peux pas. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=252|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20131207={{Extrait|id=6789039|{{personnage|Georges}} : La plupart des enfants, en France, sont des enfants abandonnés. Ou bien on ne s’occupe pas d’eux. Ou bien on s’occupe d’eux si mal. Ou bien on s’occupe d’eux pendant quelque temps, avec intelligence, et ensuite on les abandonne. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=254|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20131208={{Extrait|id=6817761|N’importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu’ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) excellent dans l’art de se faire draguer. J’ai dragué beaucoup de moins de seize ans, mais beaucoup de moins de seize ans m’ont dragué. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=42}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20131209={{Extrait|id=6850831|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce. | |||
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'', « Le jeudi de Bagatelle »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | ||
| | | 20131210={{Extrait|id=6869290|N’aimer que la jeunesse et la grâce, c’est se condamner à aimer peu souvent et peu longtemps. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=178}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20131211={{Extrait|id=6878564|Partout où il y a beauté masculine, il y a en germe la pédérastie. Et comme il y a la beauté de la force, la beauté de la puissance, la beauté de la faiblesse, voire la beauté de la laideur, personne ne peut être sûr d’y échapper. | |||
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20131212={{Extrait|id=6884147|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères. | ||
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{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}} | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131213={{Extrait|id=6893810|Je crois, comme les anciens Grecs, que la vérité doit triompher par sa propre force. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=10|page=233}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20131214={{Extrait|id=6914076|La bêtise est une stratégie de l’intelligence : l’enfant s’adapte, dès sa naissance, à son entourage d’imbéciles, il y conquiert une place en les imitant. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20131215={{Extrait|id=6915965|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Ni tabac ni alcool désormais. Les enfants ne fument, ni ne boivent. | ||
{{ | {{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=130}}}} | ||
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{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | ||
| | | 20131216={{Extrait|id=6963523|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours. | ||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20131217={{Extrait|id=6973963|Tout vrai amour doit rompre avec la société. | |||
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=198}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20131218={{Extrait|id=6975223|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Il y a des amours précieuses et rares, comme il y en a de vulgaires. | |||
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=96}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20131219={{Extrait|id=6978068|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Une hérésie en faveur de l’enfance, qui oserait la condamner ? | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | |||
| 20131220={{Extrait|id=7000367|{{personnage|Pasiphaé}} : Tous voient ce que je vois, et nul ne le désire. Pourquoi être différente des autres, sans l’avoir voulu, sans rien y pouvoir ? Le printemps des Crétois est en fleurs. La chienne appelle le chien, et reçoit une réponse. La louve appelle le loup, et reçoit une réponse. Mais moi il n’y a que l’anathème pour le cri de ma chair et de mon cœur.<br>{{personnage|Le Chœur}} : Si elle souffre du jugement qu’elle porte sur son acte, je la blâme. Mais si elle souffre seulement de l’anathème qui accueillerait cet acte, qui ne l’excuserait ?<br>{{personnage|Pasiphaé}} : Au fond de moi, je ne sens pas que ce que je vais faire est mal ; et je ne m’explique pas pourquoi ce le serait. Et le ciel me regarde, et la mer, et ils ne me condamnent pas. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87-88|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | |||
| 20131221={{Extrait|id=7052945|Seule la compagnie des enfants me fait préférer ne plus en être un. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | |||
| 20131222={{Extrait|id=7053957|Dans les époques troublées la transgression est un cordial plus revigorant que le vin d’Espagne. | |||
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=108-109}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p> | ||
| | | 20131223={{Extrait|id=7141887|{{personnage|Georges}} : J’ai connu des enfants, et des enfants du peuple, qu’on pouvait entretenir pendant une heure sans lassitude, bien plus, avec goût et intérêt. Ils étaient fins, ils réagissaient juste, ils avaient des trouvailles, une espèce de génialité… | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=248|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20131224={{Extrait|id=7165708|Il n’est pas de bonheur qui n’ait sa source et sa fin dans les sens, mais le charme de l’enfance est de promettre avant de pouvoir tenir. Encore tient-elle volontiers, à un âge que ne soupçonnent pas les bonnes gens. L’auteur de ''Lolita'' a étonné en dévoilant l’existence des « nymphettes ». Les satyrisques étaient les petits compagnons des satyres, les panisques de Pan et, si l’occasion leur en était offerte, les Lolitos supplanteraient les Lolitas.<br> ''… Que deviendraient les familles,<br> Si les cœurs des jeunes garçons<br> Étaient faits comme ceux des filles ?''<br>Le chevalier de Boufflers, qui était pédéraste, fait semblant de poser là une question qu’il avait résolue : les cœurs des garçons sont aussi ardents que ceux des filles et leurs corps plus précoces et plus exigeants. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. III|page=22-23}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
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Version du 26 novembre 2013 à 19:01