« BoyWiki:Accueil/Citation du jour » : différence entre les versions
De BoyWiki
m |
Routine prepare citation du jour |
||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
<!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. --> | <!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. --> | ||
{{#switch:{{#time:Ymd}} | {{#switch:{{#time:Ymd}} | ||
| | | 20140806={{Extrait|id=3427467|Parmi les regrets de ma vie, figure celui de ne pas avoir découvert plus tôt que les plaisirs d’une nuit en troisième classe dépassent de loin ceux d’une nuit en couchette. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=51}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20140807={{Extrait|id=3474474|L’infantilisme particulier à ceux qui vivent trop avec les enfants : certains éducateurs, moniteurs de formations de jeunesse, grands-parents à la retraite, désœuvrés et en adoration devant leurs petits-enfants… | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=301-302|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20140808={{Extrait|id=3516627|Les vrais éducateurs vont au-devant des problèmes et des intérêts de la jeunesse, au lieu de les fuir. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=15}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20140809={{Extrait|id=3518238|Qu’il ait le bon carquois ou le mauvais, que sa flèche aille à droite ou à gauche, que sa tête soit couverte de cendres ou de roses, l’Amour est toujours l’Amour. | ||
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page= | {{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Genève|éditeur=Éd. Famot|collection=Grands romans contemporains|année=1974|page=8}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | |||
| 20140810={{Extrait|id=3535738|{{personnage|John Hopkins}} ''(à l’auteur, lors d’une promenade dans la médina de [[Marrakech]])'' :<br>« Les très jeunes, ça prend beaucoup de temps ». | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=58}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20140811={{Extrait|id=3543621|''Der moderne Singverein, wie virtuos auch immer, hat nichts zu tun mit dem transparenten Knaben- und Jünglingschor der Bach-Kantaten.''<br>—<br>Les chorales modernes, même virtuoses, n’ont rien de commun avec la transparence du chœur de garçons et d’adolescents des cantates de Bach. | |||
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach (1685-1750), Das Kantatenwerk = Sacred cantatas|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Classics International|année=1994|page=178, 268|section=« Die Aufführungspraxis » (1971)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p> | |||
| 20140812={{Extrait|id=3544765|[…] l’instrumentation des satyres légaux.<ref>Jarry qualifie ainsi l’enquête et les examens médicaux auxquels un [[juge d’instruction]] soumettait de jeunes [[garçon]]s impliqués dans l’affaire [[Jacques d’Adelwärd-Fersen]].</ref>{{Réf Article|auteur1=Alfred Jarry|titre=L’âme ouverte à l’art antique|périodique=Le Canard Sauvage|num=19|date=26 juillet-1{{Exp|er}} août 1903}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Alfred Jarry (citations)]]</p> | |||
| 20140813={{Extrait|id=3552409|''It is the fear of sexual contact, and still worse, the fear of being thought queer, that have tended to minimize intelligent guidance of young people by interested adults.''<br>—<br>C’est la peur d’un contact sexuel, ou pire encore, la peur d’être considéré comme un homo, qui a contribué à réduire l’encadrement intelligent des jeunes par les adultes qui s’y intéressent. | |||
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=18}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p> | ||
| | | 20140814={{Extrait|id=3572362|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Je ne reconnais aucun devoir, hors celui du libre arbitre. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=26}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20140815={{Extrait|id=3580581|Si Pasiphaé se croyant coupable est plus intéressante pour le poète, Pasiphaé se croyant innocente est plus intéressante pour le philosophe, pour celui aux yeux de qui la charité n’est pas cette charité dont on nous assomme de nos jours, mais une autre charité : celle qui tente d’inculquer aux hommes une attitude raisonnable devant la vie. Si Pasiphaé se croyant coupable est un personnage pathétique, Pasiphaé se croyant innocente est un personnage exemplaire. L’humanité n’a pas attendu le christianisme pour décréter fautes des actes qui ne sont des fautes ni selon la nature ni selon la raison ; le christianisme n’a fait que reprendre, en les mettant à la mode, les défaillances de l’esprit qu’il avait trouvées. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=78-79|section=Présentation de ''Pasiphaé'' (1938)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20140816={{Extrait|id=3584188|Livrée aux professeurs de vertu, aux pharisiens croyants et athées, aux sycophantes de l’ordre moral, notre époque est devenue extraordinairement bête, et la France de Fragonard et de Watteau s’est métamorphosée en une prude vieille fille, en une chaisière hystérique. | ||
{{Réf | {{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p> | ||
| | | 20140817={{Extrait|id=3708630|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Tout le monde est fait pour l’amour : on n’a vécu que si l’on a aimé. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=112}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20140818={{Extrait|id=3710287|Il y a presque toujours chez un enfant ou un adolescent, fût-il du terreau le plus ingrat, un instant où sort de lui quelque chose de merveilleux, qui ne peut être donné que par cet âge, et qu’il ne redonnera jamais plus. C’est une loi de la vie : que cela se gâte ou se dessèche, il n’y est pour rien. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=307-308|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20140819={{Extrait|id=3774667|Sa tendresse dure le temps de son plaisir ; à la lettre, elle n’est que l’explosion de son plaisir. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=296|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}} | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=296|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20140820={{Extrait|id=3804668|Les enfants sont d’extraordinaires pêcheurs, les meilleures têtes chercheuses créées à ce jour. Ayant une intuition au moins globale du sort qui les attend, ils sont, sans même y penser, à l’affût des coups de bol. Le coup de bol peut être n’importe quoi. Il n’a rien à voir avec enfance heureuse ou malheureuse. Heureusement. Il n’est pas nécessairement un événement important — au sens où l’entendent les grandes personnes qui n’y entendent rien en importance de toute façon et heureusement. Bien que, un événement important peut aussi faire l’affaire. N’importe quoi.<br>Au premier rang des coups de bol : l’amour. La rencontre. De quelqu’un, de quelque chose, ou bête, ou image. Et ça peut même arriver à l’école, venir même d’un/une prof. Toute connaissance est une histoire d’amour. | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=117}}}} | ||
| | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
{{Réf Livre|référence= | | 20140821={{Extrait|id=3811046|{{personnage|Poil de Carotte}}<br>''Au fond d’un placard. Dans sa bouche, deux doigts ; dans son nez, un seul.''<br>Tout le monde ne peut pas être orphelin. | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | {{Réf Livre||titre=Poil de Carotte|auteur=[[Jules Renard]]|éditeur=Ernest Flammarion|année=1902|page=228|chapitre=« Coup de théâtre »|scène=V|année d'origine=1894}}}} | ||
| | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Orphelin]]</p> | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre= | | 20140822={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | |||
| 20140823={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | |||
| 20140824={{Extrait|id=3817028|Tu as besoin de moi, tu sais bien en quoi : en tout. Moi, j’ai besoin de toi à cause de ta gentillesse, et à cause de l’amour que j’ai pour toi. Donc, que chacun de nous fasse l’impossible non seulement pour ne pas ajouter aux difficultés de l’autre, mais pour lui être une occasion de plaisir et de légèreté. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=295|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20140825={{Extrait|id=3833318|Les amours africaines sont faciles, mais médiocres. Il y a une certaine démission de l’homme occidental en quête d’amours homosexuelles, à franchir la Méditerranée. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=62}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20140826={{Extrait|id=3839053|L’amour représente la beauté véritable, celle que Dieu, selon le mot de Hafiz, « contemple par les yeux de l’amant ». Et pour cause, puisque ce dieu est l’Amour. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20140827={{Extrait|id=3851390|{{personnage|Alphonse Dulaurier}} :<br>Laissez […] ces cons de psychiatres nous expliquer que les jeunes doivent aller avec les jeunes, les vieux avec les vieux. Ce mensonge est à la mode, je le sais, mais il me fait horreur. Rien ne peut être plus heureux, plus fécond pour une jeune fille ou un jeune garçon que de découvrir l’amour avec un homme ou une femme plus âgés. | |||
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=5|page=197}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | |||
| 20140828={{Extrait|id=3852738|La grande jeunesse court avec son flambeau, et sa lumière est fugitive. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20140829={{Extrait|id=3854296|Le geste d’un enfant (toujours de moins de treize ans) quand, debout devant vous et vous faisant face, il pose les mains sur vos bras, appuie la tête contre votre poitrine et reste ainsi quelques instants. Exactement le geste classique de la femme amoureuse. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=297|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p> | |||
| 20140830={{Extrait|id=3856203|Je crois que c’est un assez bon apostolat que celui de la vérité. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}} | {{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20140831={{Extrait|id=3881531|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Ne voyez-vous donc pas que le secret d’une éducation bien dirigée, c’est de prévenir, non la pratique, mais la connaissance du mal ? Loin de la prévenir, vous l’induisez, par des conseils et des sanctions. Il faut faire confiance à des êtres sains et bien portants. Il ne faut les surveiller que par manière d’acquit, ou, comme moi, par plaisir, mais certainement pas par conviction. Aucune surveillance ne les empêchera d’être ce qu’ils sont.<br>J’ai cru, deux ou trois fois, dans mon enfance, perdre ma qualité d’enfant, et je me souviens de la joie que je ressentis, en me rendant compte que j’avais passé dans le feu sans me brûler, dans la boue sans me crotter et par les piques sans me piquer. | ||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | |||
| 20140901={{Extrait|id=3910786|Quatorze ans, c’est l’âge que j’avais moi-même, lorsque je fus dragué, séduit, initié aux plaisirs de l’amour, dévirginisé, « violé » dirait le code pénal, par la sœur aînée d’un de mes camarades. Elle était beaucoup plus âgée que moi, très jolie, très sensuelle, très douce. Je garde de cette première expérience un souvenir tendre, enchanteur. | |||
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« À propos du viol » (13 décembre 2007)|page=94}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p> | |||
| 20140902={{Extrait|id=3956543|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>En France, plus encore que partout ailleurs, les enfants sont regardés comme des objets sacrés, qui ne doivent pas quitter le tabernacle. L’homme qui s’intéresse à eux est toujours suspect. | |||
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=226}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p> | |||
| 20140903={{Extrait|id=3962189|Si les chenilles avaient des analystes elles ne deviendraient jamais des papillons. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=69}}}} | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20140904={{Extrait|id=3985570|{{personnage|Norman Douglas}} :<br>L’Italie est hermaphrodite et c’est le secret de sa singulière beauté. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=151|partie=Deuxième partie|chapitre=VIII}}}} | ||
| | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20140905={{Extrait|id=4004791|Lorsque la société nous rejette tel un lépreux et sa crécelle, un juif et son étoile jaune, notre seule arme est la fierté. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=4|page=179-180}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | ||
| 20140906={{Extrait|id=4033769|''As a guide-philosopher-friend-counselor, a parent is not in a suitable position; the needed adult has to be someone whom the boy can trust, who will not inform on him, who does not automatically take the role of an authority figure.''<br>—<br>En tant que guide-philosophe-ami-conseiller, un parent n’est pas dans la bonne position ; il y faut un adulte en qui le garçon puisse avoir confiance, qui ne va pas révéler des choses sur lui, qui ne prendra pas automatiquement le rôle d’une figure d’autorité. | |||
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=17}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p> | |||
|#default= | |#default= | ||
}} | }} |
Version du 8 août 2014 à 09:44