« BoyWiki:Accueil/Citation du jour » : différence entre les versions
De BoyWiki
Routine prepare citation du jour |
Routine prepare citation du jour |
||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
<!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. --> | <!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. --> | ||
{{#switch:{{#time:Ymd}} | {{#switch:{{#time:Ymd}} | ||
| | | 20141205={{Extrait|id=5709368|Proverbe florentin du {{s-|XV|e}} :<br>''Quando vòi prendere trastullo, usa spesso col fanciullo.''<br>Quand tu veux t’amuser, use souvent du garçon. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | {{Réf Livre|titre=[[Le Porretane (Giovanni Sabadino degli Arienti)|Le Porretane]]|auteur=Sabadino degli Arienti|éditeur=Giuseppe Laterza & figli|année=1914|page=69|section=Novella XIII|année d'origine=1483|collection=Scrittori d’Italia}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p> | |||
| 20141206={{Extrait|id=5718003|{{personnage|Alphonse Dulaurier}} :<br>Quand on est heureux, il ne faut pas le montrer, car la société ne vous le pardonne pas. Que dis-je, la société ! Il suffit parfois d’''un seul ennemi'' pour nous détruire. | |||
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=IX|page=103}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p> | |||
| 20141207={{Extrait|id=5736323|{{personnage|Salvador Dali}} : <ref>Propos tenu lors d’un déjeuner de Florence Gould.</ref><br>L’amour, c’est quelque chose qui se passe dans la tête et qui finit par trois petites gouttes dans le tuyau du pipi. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=6|page=257}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20141208={{Extrait|id=5737386|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Vous, vous aimez les beaux. Moi, j’aime les pauvres. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=58}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20141209={{Extrait|id=5757633|{{personnage|L’Infante}} : Échouer à convaincre l’être auquel on veut tant de bien ! Comment le bien que l’on veut à un être ne resplendit-il pas sur votre visage et ne passe-t-il pas dans le son de votre voix, tellement qu’il soit impossible de s’y méprendre ? | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=152|section=''La reine morte'' (1942)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | |||
| 20141210={{Extrait|id=5778985|On ne parlerait pas de l’inceste parents-enfants, car il n’est qu’un cas particulier de la relation adulte-enfant qui est l’une des plus riches lorsqu’elle est vraiment réciproque, on n’en parlerait pas, n’était ce sacré rapport de forces. Il gâte tout. Comment démêler désir de soumission ou crainte ? ou intimidation, ou forme tacite de chantage ? ou autorité naturelle… ?<br>Si, version mère-fils, pouvoir parental et pouvoir mâle vont en sens contraire, version père-fille ils s’additionnent. Il faut voir là la raison d’une plus grande fréquence du dernier cas, et, donc, l’importance du facteur pouvoir dans l’affaire.<br>Manifeste ou non, le rapport de pouvoir est là, dès lors l’inceste est du viol. Dommage. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=88}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20141211={{Extrait|id=5797126|{{personnage|Le père Séraphin}} :<br>Les théories sur l’amour n’ont qu’un médiocre intérêt : seuls comptent les gestes de l’amour. | |||
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=3|page=32}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | |||
| 20141212={{Extrait|id=5807618|L’amour oblige l’un à devenir l’autre. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. III|page=41}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20141213={{Extrait|id=5828411|Étant donné les conditions, spéciales, faites aux jeunes sur le marché du travail — sans parler du marché du chômage où on ne peut entrer du reste que si on a déjà assez travaillé pour ça — les seuls débouchés sont : les casses (où les jeunes se font exploiter par les receleurs, aux environs de 10 % de la valeur des vols) ; et la prostitution, en expansion parmi les enfants de familles pauvres, aussi bien pour les garçons que pour les filles (clientèle mâle pour les deux) ; s’ils se débrouillent pour ne pas se faire « protéger » (exploiter) par des professionnels, ils se trouvent là du moins à égalité d’exploitation avec les adultes, voire un peu plus cotés, vu leur fraîcheur. C’est le clair résultat obtenu par une réglementation « protectrice » dans une société fondée sur l’exploitation. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=152}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20141214={{Extrait|id=5837222|Dans le domaine de la pédophilie et des délits sexuels, un bon nombre de gens jouissent par délits interposés. […] Une des meilleures façons de se défendre de son trouble, c’est de condamner les autres. Les puritains, ce sont les plus grands obsédés sexuels au monde, il faut bien le dire. C’est vrai aussi pour la pédophilie. Vous savez comme moi que parmi les gens se trouvant au premier rang de la marche blanche, on a tout de même détecté des vrais pédophiles. C’est assez classique. On se défend contre des choses qu’on a en soi en condamnant les autres.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p> | |||
| 20141215={{Extrait|id=5848601|Pendant des siècles, d’innombrables « pauvres bougres » grillèrent sur les bûchers d’une morale insensée, qui prétendait appliquer les lois du christianisme. Il était temps, pour les théologiens, de s’apercevoir que les empereurs Constantin, Valentinien et Théodose furent des monstres en réservant l’autodafé aux hérétiques de l’amour. | |||
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20141216={{Extrait|id=5850684|''Il ne faut pas juger le mineur sur la mine.''<ref>Cet alexandrin est cité de façon légèrement différente par {{Référence:L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|refcourte}}, page 113 :<br>''Il ne faut pas juger d’un mineur sur la mine.''</ref>{{Réf Article|auteur1=Alfred Jarry|titre=L’âme ouverte à l’art antique|périodique=Le Canard Sauvage|num=19|date=26 juillet-1{{Exp|er}} août 1903}}}} | ||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page= | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Alfred Jarry (citations)]]</p> | ||
| 20141217={{Extrait|id=5857725|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | |||
| 20141218={{Extrait|id=5873535|Quand j’ordonne à un enfant : « Fais ceci ! », il n’apprend qu’à ordonner : « Fais ceci ! »<br>Quand je punis un enfant, il n’apprend qu’à punir un enfant.<br>Quand je subis un despote, je l’imagine à douze ans, hideux, honteux, glacé, sans camarades, la tête bleue de gifles. Impatient d’avoir grandi : dans ses rêves heureux, l’humanité entière y passera, et les femmes d’abord. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=88}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | ||
| | | 20141219={{Extrait|id=5918502|Ces jolis gamins dont la race élégante pullule les rues, en Italie. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|titre=[[L’Élu (Achille Essebac)|L’Élu]]|auteur=Achille Essebac|éditeur=L’Édition Moderne, Ambert et C{{Exp|ie}}|année=1902|page=non précisée|chapitre=IV}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p> | ||
| | | 20141220={{Extrait|id=5951416|{{personnage|Philippe}} : Collège, collège, tout est collège ! Ce que nous savons le mieux, c’est notre commencement. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=27|section=''L’exil'' (1929)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | |||
| 20141221={{Extrait|id=5954671|Ancrons en nous l’idée, d’ailleurs si juste, de la ''folie de l’adolescence'', qui nous permet de leur pardonner. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=8|section=''L’exil'', « Préface de l’édition originale » (1929)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20141222={{Extrait|id=5956507|Les deux pièces de moi que les femmes préfèrent sont ''La Reine morte'' et ''La Ville dont le prince est un enfant''. […] La seconde — qui se passe dans un collège — parce qu’elles y voient ce que sont en réalité leurs jeunes fils, et les éducateurs de ceux-ci, dont elles n’avaient aucune notion. | ||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=202|section=''La reine morte'', « Souvenirs sur la création de ''La Reine morte'' » (1966)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | |||
| 20141223={{Extrait|id=5965689|Je constate qu’il y a un mouvement de répression finalement très sévère et très paradoxal parce que, dans le même temps, on sexualise toute la société, y compris les jeunes, et puis il y a une indignation curieuse. Une indignation qui empêche d’observer les phénomènes tels qu’ils sont et d’entendre ce que les gens disent. Qu’une victime dise entre guillemets qu’elle n’est pas victime, les gens de ma profession et le reste de la population vont dire : Mais c’est impossible. Il est encore plus malade qu’il ne le croit. […] Ça paraît scandaleux, invraisemblable et tout ce qu’on veut. Ce n’est évidemment pas conforme à la loi. Mais il ne faut pas tout mêler. Ce n’est pas parce que c’est illégal que c’est nécessairement insupportable pour tout le monde.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}} | |||
{{Réf Livre|référence= | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p> | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | | 20141224={{Extrait|id=6003431|Aucune honte à la suite des voluptés faciles. Sorte de paradis vulgaire et de communion par en bas. L’important c’est de ne pas y prêter d’importance, ni de se croire avili par elles : l’esprit n’y est nullement engagé, non plus que l’âme, qui n’y fait pas trop attention. Mais, dans l’aventure, un amusement et un plaisir extraordinaires accompagnent la joie de la découverte et de la nouveauté. | ||
| | {{Réf Livre|référence=Journal (Gide)/volume II, Gallimard-La Pléiade, 1997|page=1058|année d'origine=''24 janvier 1948''}}}} | ||
{{Réf | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Journal d’André Gide (citations)]]</p> | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | | 20141225={{Extrait|id=6044843|J’accepte que le rôle de Gillou soit joué en travesti, à condition que le rôle de Marie soit joué par un garçon de quatorze ans. | ||
| | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=266|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}} | ||
{{Réf Livre|référence= | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | | 20141226={{Extrait|id=6052170|{{personnage|L’Infante}} : Un jeune démon est toujours beau. | ||
| | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=147|section=''La reine morte'' (1942)}}}} | ||
{{Réf Livre|référence= | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | | 20141227={{Extrait|id=6065597|Une affaire de cœur n’est jamais une affaire de mœurs. | ||
| | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=15|page=296}}}} | ||
{{ | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20141228={{Extrait|id=6084077|{{personnage|Porcellio}} : Vous êtes un magnifique démon, et les démons ont toujours seize ans. | ||
{{ | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=356|section=''Malatesta'' (1946)}}}} | ||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20141229={{Extrait|id=6086501|Entre vieux copains, les conversations ont nécessairement de la bouteille. Plus des hommes se connaissent de longue date, et plus ils ont leurs sujets de discussion, leurs thèmes, leurs tics, leurs plaisanteries, leurs mots de passe. Cela vaut pour tous, mais est plus manifeste encore chez les philopèdes qui sont, avec les poseurs de bombes, les vrais parias, les derniers intouchables de notre {{s-|XX|e}} finissant. Ces maudits que tout le monde rejette aiment à se retrouver entre eux. Avec qui d’autre pourraient-ils parler de leurs inavouables passions ? Ensemble, ils se tiennent chaud. Les amoureux des moins de seize ans sont des conspirateurs et des obsédés. C’est sans nul doute à leur usage qu’a été inventée l’expression « idée fixe ». Quelqu’un qui ne serait pas dans le coup et surprendrait des pédophiles en train de parler de leurs jeunes garçons, de leurs lycéennes, de leurs interrogatoires par la police et de leurs séjours en prison, de se montrer des (...) | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=XIII|page=142-143}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p> | ||
| | | 20141230={{Extrait|id=6097338|Ce qui vient de l’enfance est ce qu’il y a de plus profond et de plus séduisant.<ref>Peyrefitte fait cette réflexion à propos de la lettre que lui a adressé « un garçon de quinze ans », jeune lecteur belge des ''[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)|Amitiés particulières]]'' qu’il évoquera dans la première partie de ''[[Jeunes proies (Roger Peyrefitte)|Jeunes proies]]''.</ref> | ||
{{Réf | {{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=176}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20141231={{Extrait|id=6110326|Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose. L’unique supériorité de la pédérastie sur la Vénus vulgaire est d’ordre pratique : celui qui aime les garçons ne risque pas de leur faire un enfant et, partant, d’être contraint au mariage par la famille de la jeune personne séduite. Quelle tranquillité ! | ||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section= | {{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : “Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose !”|périodique=Le Point|date=24 avril 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885.php matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885]}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p> | |||
| 20150101={{Extrait|id=6113320|Il existe partout des hommes que des garçons rendent heureux en secret et qui rendent heureux ces garçons. Il existe partout également des jeunes gens et des garçons qui s’aiment. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | ||
| | | 20150102={{Extrait|id=6115258|Le Capitalisme sépare les tranches d’âge, de revenus, de cultures, etc. Il quadrille le peuple. | ||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=27}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20150103={{Extrait|id=6115735|''It is significant that in the Latin countries, sexual laws are less restrictive, less ferocious in language and penalties, and less all-inclusive in the categories of punishable acts, than in the Nordic countries in which puritanical Protestant theocracies had some role in preserving medieval laws. It is also significant that the age of consent for males and females is lower in these Latin countries than elsewhere, and that prosecutions are far more rare, public opinion—which pretty faithfully mirrors the legal codes—being far more relaxed and tolerant.''<br>—<br>Il est significatif que dans les pays latins, les lois sexuelles soient moins restrictives, avec un langage et des pénalités moins féroces, et moins étendues quant aux types d’actes punissables, que dans les pays nordiques où des théocraties protestantes puritaines ont contribué à préserver des lois médiévales. Il est également significatif que l’âge de consentement pour les deux sexes soit plus (...) | ||
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=45}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p> | |||
| 20150104={{Extrait|id=6145863|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p> | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
| | |||
{{Réf Livre|référence= | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | |||
|#default= | |#default= | ||
}} | }} |
Version du 7 décembre 2014 à 08:50