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| 20150103={{Extrait|id=6115735|''It is significant that in the Latin countries, sexual laws are less restrictive, less ferocious in language and penalties, and less all-inclusive in the categories of punishable acts, than in the Nordic countries in which puritanical Protestant theocracies had some role in preserving medieval laws. It is also significant that the age of consent for males and females is lower in these Latin countries than elsewhere, and that prosecutions are far more rare, public opinion—which pretty faithfully mirrors the legal codes—being far more relaxed and tolerant.''<br><br>Il est significatif que dans les pays latins, les lois sexuelles soient moins restrictives, avec un langage et des pénalités moins féroces, et moins étendues quant aux types d’actes punissables, que dans les pays nordiques où des théocraties protestantes puritaines ont contribué à préserver des lois médiévales. Il est également significatif que l’âge de consentement pour les deux sexes soit plus (...)
| 20150203={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=45}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20150104={{Extrait|id=6145863|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
| 20150204={{Extrait|id=6735926|{{personnage|Georges}} : Je l’aime, et je voudrais l’estimer autant que je l’aime, et je ne peux pas.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=252|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20150205={{Extrait|id=6789039|{{personnage|Georges}} : La plupart des enfants, en France, sont des enfants abandonnés. Ou bien on ne s’occupe pas d’eux. Ou bien on s’occupe d’eux si mal. Ou bien on s’occupe d’eux pendant quelque temps, avec intelligence, et ensuite on les abandonne.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=254|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20150206={{Extrait|id=6817761|N’importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu’ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) excellent dans l’art de se faire draguer. J’ai dragué beaucoup de moins de seize ans, mais beaucoup de moins de seize ans m’ont dragué.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=42}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20150207={{Extrait|id=6846851|L’étoile jaune du pédophile que les médias lui avaient collée au front.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=8|page=118}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20150208={{Extrait|id=6850831|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'', « Le jeudi de Bagatelle »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20150209={{Extrait|id=6869290|N’aimer que la jeunesse et la grâce, c’est se condamner à aimer peu souvent et peu longtemps.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=178}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20150210={{Extrait|id=6878564|Partout où il y a beauté masculine, il y a en germe la pédérastie. Et comme il y a la beauté de la force, la beauté de la puissance, la beauté de la faiblesse, voire la beauté de la laideur, personne ne peut être sûr d’y échapper.
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20150211={{Extrait|id=6884147|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20150105={{Extrait|id=6149037|J’ai toujours préféré les plaisirs qu’on se procure à ceux que l’on vous présente.
| 20150212={{Extrait|id=6893810|Je crois, comme les anciens Grecs, que la vérité doit triompher par sa propre force.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=10|page=233}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20150106={{Extrait|id=6179900|Un beau garçon peut ruiner une vieille tête, une belle femme peut embrouiller une langue.
| 20150213={{Extrait|id=6914076|La bêtise est une stratégie de l’intelligence : l’enfant s’adapte, dès sa naissance, à son entourage d’imbéciles, il y conquiert une place en les imitant.
{{Réf Livre|titre=Passions of the Cut Sleeve|auteur=Bret Hinsch|éditeur=University of California Press|année=1990|page=31|auteur de la contribution=Xun Xi (荀唏)|titre de la contribution=Intrigues des Royaumes combattants|traducteur=BoyWiki}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Chine]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20150107={{Extrait|id=6218822|Qui change les termes déclare la guerre.
| 20150214={{Extrait|id=6915965|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Ni tabac ni alcool désormais. Les enfants ne fument, ni ne boivent.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=54}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=130}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20150108={{Extrait|id=6265606|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :&nbsp;<br>Ce garçon n’est pas mon fils, ou plutôt il est mon fils de cette année, le fils de ce voyage.
| 20150215={{Extrait|id=6963523|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=224}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20150216={{Extrait|id=6973963|Tout vrai amour doit rompre avec la société.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=198}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20150217={{Extrait|id=6975223|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Il y a des amours précieuses et rares, comme il y en a de vulgaires.
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=96}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20150218={{Extrait|id=6978068|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Une hérésie en faveur de l’enfance, qui oserait la condamner ?
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20150109={{Extrait|id=6274263|D’inconcevables garçons ont tout juste de quoi pisser debout sans mouiller leurs baskets. Ils ne semblent pas nus.<br>Je soupçonne que, jadis, quelques jolis vertueux, pudiquement vêtus, ne refusèrent mes bonnes manières que pour garder cet embarrassant secret. Ils avaient tort. On a des compassions, des attendrissements : et l’amour fait voir grand contre l’évidence même.
| 20150219={{Extrait|id=7000367|{{personnage|Pasiphaé}} : Tous voient ce que je vois, et nul ne le désire. Pourquoi être différente des autres, sans l’avoir voulu, sans rien y pouvoir ? Le printemps des Crétois est en fleurs. La chienne appelle le chien, et reçoit une réponse. La louve appelle le loup, et reçoit une réponse. Mais moi il n’y a que l’anathème pour le cri de ma chair et de mon cœur.<br>{{personnage|Le Chœur}} : Si elle souffre du jugement qu’elle porte sur son acte, je la blâme. Mais si elle souffre seulement de l’anathème qui accueillerait cet acte, qui ne l’excuserait ?<br>{{personnage|Pasiphaé}} : Au fond de moi, je ne sens pas que ce que je vais faire est mal ; et je ne m’explique pas pourquoi ce le serait. Et le ciel me regarde, et la mer, et ils ne me condamnent pas.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=85}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87-88|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20150110={{Extrait|id=6277519|Ô dur et douloureux enfantement ! La voix naissait : une extraordinaire chose qu’une voix de treize ans (qui occupe si peu de place) soit seule dans toute une grande église ! Elle naissait, elle montait, pure comme un rayon de lumière, mais fragile, et manifestement sans défense, et si nue qu’on en avait de la gêne, la crainte d’être indiscret.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=116|section=''La relève du matin'', « Trois variations sur le thème : Maîtrises »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20150111={{Extrait|id=6278336|''Like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven.''<br>—<br>Comme douze ans, sept est un âge honorable, et l’ambition d’y parvenir est louable. On est impatient d’avoir sept ans.
| 20150220={{Extrait|id=7012768|Outre l’art du mensonge, une âme sensible qui veut échapper aux faux devoirs à quoi la société prétend l’assujettir doit impérativement acquérir ce qui, loin d’être un défaut, est la plus précieuse des vertus : un résolu, persévérant et inexorable égoïsme.
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=4|page=43-44}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de sept ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20150112={{Extrait|id=6302166|On répète, à l’éloge des filles, qu’elles sont mûres bien avant les garçons.<br>Certes. Quand on a élevé côte à côte un bébé chimpanzé et un bébé humain, le singe a grandi et progressé beaucoup plus vite. À un an il dansait, il chantait, il savait déjà lire. — Mais quelles danses, quelles chansons, mais quels livres ! Aucun garçon n’en voudrait.
| 20150221={{Extrait|id=7052945|Seule la compagnie des enfants me fait préférer ne plus en être un.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20150113={{Extrait|id=6330950|[...] la morale islamique, qui est le contraire de la morale chrétienne, en ce qu’un péché n’est pardonné que si on ne l’avoue pas. En effet, si on avoue un péché, la honte en retombe sur la famille et sur la tribu tout entières. Mais il y a une façon de réparer un tort, quand il a été prouvé autrement : on indemnise la partie lésée.
| 20150222={{Extrait|id=7065248|Les enfants ne nous intéressent qu’autant que nous pouvons bêtiser avec eux. Dans leur prime saison, qui ne les aime ! « Qu’il est gentil ! » — « Oh, le mignon ! » : la mièvre sentimentalité, les ineptes zézaiements. Mais, onze ans accomplis, fini de plaire ; on les traite avec agacement et dédain. Rien d’étonnant : c’est que leur âme est née. Quand leur âme sera morte — elle meurt chez le plus grand nombre aux alentours de la dix-huitième année, la sympathie et l’attention reviendront d’elles-mêmes.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=8|page=268}}}}
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=72|section=''La relève du matin'' (1920), « La gloire du collège »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p>
| 20150114={{Extrait|id=6335339|Après les notions de délinquant, prédélinquant, caractériel, débile, inadapté, personnalité psychopathique, voici la dénomination de « déviant », qui a le mérite d’être claire : il y a donc une Ligne ; et l’avantage qu’on peut mettre dedans ce qu’on veut : le vol de mob la fugue la désobéissance l’homosexualité (c’est-à-dire tout le monde qui a le malheur de se faire prendre) la sexualité solitaire l’hétéroprécocité le mauvais esprit la tête de lard l’insoumission précoce la manif la brebis noire le fille manqué la garçon manquée la haine des maths le génie hors programme l’insolence la liberté l’irrespect le bombage de murs les mauvaises lectures la grève les cheveux le pied le marcheur sur pelouse le rouleur d’herbe le promeneur trop loin la lumière trop tard le pas aimant le mal aimé le suicidaire le ras le bol la liberté la vie, tout ce qui dit pas papamaman quand on appuie sur le ventre. Tout est médicalisable et tout se traite.
| 20150223={{Extrait|id=7134887|Les nazis incarnent le mal, et chacun le sait, au lieu que les faux-culs du nouvel ordre mondial et moral passent aux yeux de l’opinion publique pour l’incarnation du bien. C’est cette imposture qui est plus terrible que tout.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=137-138}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=10|page=264}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20150115={{Extrait|id=6357124|Je crois que ceux qui soutiennent que l’amoureux des enfants est voué à la solitude du cœur, se trompent. En tout cas, mon expérience personnelle se situe aux antipodes de la leur. Ce qui m’impressionne chez les très jeunes, c’est au contraire leur capacité de don total de soi, leur abandon sans réserve à l’être aimé. Un adolescent amoureux ne compose pas avec l’amour, il a foi en l’absolu de la passion, il s’y livre entièrement. Cela est si vrai que ''le seul argument sérieux'' contre l’amour des moins de seize ans me paraît être que lorsque nous allumons un feu dans le cœur de l’un d’eux, nous ne savons pas si, passée la frénésie sensuelle des premiers jours ou des premières semaines, nous aurons encore envie d’alimenter ce feu, nous ne savons pas davantage si nous serons alors capables de l’éteindre. Détacher un/une gosse de soi est parfois plus difficile que de se l’attacher. Une femme, à la rigueur, on la prend, puis on la jette ; mais c’est un jeu qu’à moins (...)
| 20150224={{Extrait|id=7141887|{{personnage|Georges}} : J’ai connu des enfants, et des enfants du peuple, qu’on pouvait entretenir pendant une heure sans lassitude, bien plus, avec goût et intérêt. Ils étaient fins, ils réagissaient juste, ils avaient des trouvailles, une espèce de génialité…
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=56-57}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=248|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20150225={{Extrait|id=7165708|Il n’est pas de bonheur qui n’ait sa source et sa fin dans les sens, mais le charme de l’enfance est de promettre avant de pouvoir tenir. Encore tient-elle volontiers, à un âge que ne soupçonnent pas les bonnes gens. L’auteur de ''Lolita'' a étonné en dévoilant l’existence des « nymphettes ». Les satyrisques étaient les petits compagnons des satyres, les panisques de Pan et, si l’occasion leur en était offerte, les Lolitos supplanteraient les Lolitas.<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;''… Que deviendraient les familles,<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Si les cœurs des jeunes garçons<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Étaient faits comme ceux des filles ?''<br>Le chevalier de Boufflers, qui était pédéraste, fait semblant de poser là une question qu’il avait résolue : les cœurs des garçons sont aussi ardents que ceux des filles et leurs corps plus précoces et plus exigeants.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. III|page=22-23}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20150226={{Extrait|id=7182226|''To be twelve is an attainment worth the struggle. A boy, just twelve, is like a Frenchman just elected to the Academy.<br>Distinction and honour wait upon him. Younger boys show deference to a person of twelve: his experience is guaranteed, his judgment, therefore, mellow; consequently, his influence is profound. Eleven is not quite satisfactory: it is only an approach. Eleven has the disadvantage of six, of nineteen, of forty-four, and of sixty-nine. But, like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven. Similarly, twenty is worthy, and so, arbitrarily, is twenty-one; forty-five has great solidity; seventy is most commendable and each year thereafter an increasing honour. Thirteen is embarrassed by the beginnings of a new colthood; the child becomes a youth. But twelve is the very top of boyhood.''<br>—<br>Avoir douze ans est une position digne d’être poursuivie. Un garçon qui vient (...)
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=308-309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20150227={{Extrait|id=7212968|Coucher avec un/une enfant, c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=75}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20150116={{Extrait|id=6388767|Partout en sociétés industrialisées on observe ce glissement dangereux du jugement au diagnostic, de la peine au traitement.
| 20150228={{Extrait|id=7225993|{{personnage|Philippe Vandel}} :<br>C’est vrai que votre maman, quand vous étiez adolescent ou préadolescent, vous a conseillé de commencer votre vie sexuelle — pardon de parler de ça, mais c’est vous qui l’avez raconté — par une liaison avec un homme plus âgé ?<br>{{personnage|Stéphane Hessel}} :<br>Ma mère avait l’esprit libre, comme vous l’avez déjà dit ; considérait l’amour socratique, l’amour tel que Platon le décrit, comme une expérience extrêmement importante pour un jeune homme ; et se disait : « Mon fils, qui veut avoir toutes les expériences intéressantes possibles, pourquoi pas ? » Elle est tombée à côté de la plaque parce que j’aime beaucoup les femmes. Mais elle aurait pu avoir une influence dans ce sens sur moi.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=62}}}}
{{Réf Émission|auteur=Stéphane Hessel|émission=Tout et son contraire|réalisateur=Philippe Vandel|diffuseur=France Info|date=12 mars 2012}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Stéphane Hessel]]</p>
| 20150117={{Extrait|id=6400925|{{personnage|Nestor}} (cité le 16 mars 1938) :<br>Il n’y a sans doute rien de plus émouvant dans la vie d’un homme que la découverte fortuite de la perversion à laquelle il est voué.
| 20150301={{Extrait|id=7226582|S’il y a un âge où un garçon a besoin de contacts sexuels, c’est l’adolescence. La société adulte n’a aucun droit de lui interdire d’étancher cette soif.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=57}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=49}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20150118={{Extrait|id=6410232|Ce goût des jeunes garçons, est-ce de l’homosexualité ? ''Stricto sensu'', oui : un garçon de treize ans est du même sexe que moi, donc en couchant avec lui j’accomplis un acte homosexuel. Pourtant, si ''homos'' signifie ''semblable'' en grec, il est clair que ce gosse et moi, nous ne sommes pas semblables.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20150119={{Extrait|id=6419172|À dix ans, j’étais sans cesse amoureux, tantôt de fillettes, tantôt de garçonnets, mais, grâce à Dieu, les adultes de mon entourage s’en fichaient éperdument, et jamais l’un d’eux n’eut avec moi la moindre conversation d’ordre intime, ne me posa la moindre question indiscrète sur ma vie sentimentale. C’étaient des choses dont entre enfants et parents on ne parlait pas. En outre, dans la presse écrite, à la radio, le mot de “pédophilie” était inconnu au bataillon. Les instituteurs, les curés, les chefs scouts étaient bien tranquilles, les adolescents aussi, et comme il n’y avait pas dans ces histoires de touche-pipi de quoi fouetter un chat, tout se passait le mieux du monde.
| 20150302={{Extrait|id=7227258|Les philopèdes sont des diables qui se dévorent entre eux.
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}}
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=I|page=11}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20150120={{Extrait|id=6430466|{{lang|grc|Ἀκμῇ δωδεκέτους ἐπιτέρπομαι.}}<br>—<br>Le summum du douze ans me délecte.
| 20150303={{Extrait|id=7230998|La clandestinité, les obstacles, non seulement n’affaiblissent pas la passion, mais au contraire la corroborent, la chauffent à blanc.
{{Réf Livre|titre=Anthologie grecque, t. XI, Anthologie palatine, Livre XII|lieu d'édition=Paris|éditeur=Les Belles Lettres|année=2002|page=3|collection=des Universités de France|auteur de la contribution=[[Straton de Sardes]]|titre de la contribution=[[La muse garçonnière|{{lang|grc|Παιδική μοῦσα}} = La muse garçonnière]]|section=épigramme 4|ISBN=2-251-00016-X|traducteur de la contribution=BoyWiki|année de la contribution={{s|II|e}}}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=4|page=44}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20150121={{Extrait|id=6443684|Hier, lorsqu’on parlait de philopédie, on songeait à Straton de Sardes, à Théocrite, à Catulle ; aux anges de Véronèse ; au mariage du duc de Lauzun ; aux écolières de Casanova ; aux nymphettes d’Ingres ; au Svidrigailov de Dostoïevski dans ''Crime et Châtiment'' ; aux photographies du baron von Gloeden ; à ''Jeunes filles en uniforme'' de Léontine Sagan ; au ''Blé en herbe'' de Colette (et d’Autant-Lara) ; au ''Tour d’écrou'' d’Henry James (et de Benjamin Britten) ; à ''Mort à Venise'' de Thomas Mann (et de Luchino Visconti) ; à ''Lolita'' de Nabokov ; aux toiles de Balthus. Nous étions dans un monde civilisé.
| 20150304={{Extrait|id=7276723|De quelque façon qu’ils s’y prennent, les adultes ne font que gâcher l’enfance.
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« À propos du viol » (13 décembre 2007)|page=93}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=297|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20150122={{Extrait|id=6459961|{{personnage|Annie Teacher}} :<br>Je bénis mon déséquilibre. N’essayez pas de me le faire perdre. J’y tiens autant que vous tenez à votre équilibre.
| 20150305={{Extrait|id=7285116|Il y a des gens dans le monde qui non seulement n’ont pas de ressources, mais n’ont pas le droit de s’en procurer, ni de disposer de celles qu’ils possèdent, par héritage par exemple. Ce sont les enfants de la société moderne — où, manque de pot, tout repose sur l’argent. Même s’ils travaillent, ce qui peut leur arriver dès 13 ans et demi, ils ne reçoivent pas un salaire entier ; ils risquent de ne pas en recevoir du tout. Ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes avant 18 ans, voire 20. Il leur faut donc être à la charge d’adultes. Et pas n’importe lesquels, qu’ils choisiraient ou qui les choisiraient — il ferait beau voir qu’un adulte entretienne un mineur ou une parce qu’il l’aime bien ! ce serait du détournement. Expressément ses parents, ou son tuteur.<br>Cela fait de l’enfant de société avancée un attardé, qui reste aux graines de sa famille dans les dix ans de plus que son frère « primitif » ou médiéval. Un bébé longue-durée.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=230}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=141}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20150123={{Extrait|id=6466194|S’il y a un dieu pour les pédérastes, il leur rappelle souvent qu’il ne faut pas trop le tenter.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=326}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20150124={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20150125={{Extrait|id=6474157|Si les gosses sont plaqués, ils plaquent eux aussi, et méchamment. Les serments d’amour éternel, les projets d’avenir, que survienne une dispute un peu grave, et tout est remis en cause. Ils passent en un instant de la ferveur absolue à la radicale absence.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=60}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20150126={{Extrait|id=6488552|La pédérastie, seule forme possible de la paternité pour celui qui répugne à fonder une famille. Paternité spéciale, mais paternité tout de même.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=73-74}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20150127={{Extrait|id=6497079|J’incline à croire que la valeur générale d’un être, à quatorze ans, c’est celle qu’il gardera toute sa vie.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=272|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de quatorze ans]]</p>
| 20150128={{Extrait|id=6502148|{{personnage|Ferrante}} : On peut avoir de l’indulgence pour la médiocrité qu’on pressent chez un enfant. Non pour celle qui s’étale dans un homme.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=112|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20150129={{Extrait|id=6550190|Cela paraît invraisemblable et scandaleux que des personnes vivent cette expérience sans trouver cela abominable. C’est tout à fait politiquement incorrect, mais ce n’est franchement pas nouveau. On le sait depuis toujours. On ne veut pas le savoir, mais c’est comme ça. Il y a un certain nombre de personnes qui ont eu des expériences en tant que mineurs avec des personnes plus âgées et qui ne voient pas ça comme une violence, un désavantage et qui voient ça comme quelque chose de plutôt positif et favorable. On a beau s’en indigner, mais ce qu’un certain nombre de personnes vivent, c’est cela.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
| 20150130={{Extrait|id=6584388|L’angoisse est le compagnon silencieux de l’enfance mais qui s’en doute ?
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=89}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20150131={{Extrait|id=6601859|{{personnage|Annie Teacher}} :<br>Sachez donc que je ne viendrais jamais à un rendez-vous d’amour, si ce n’était le premier.<br>[...]<br>Il n’y a d’amour que si c’est chaque fois la première fois.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=123}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20150201={{Extrait|id=6630331|L’enfance est une institution, non un fait. Comme fait, l’enfance (première partie de la vie humaine, dit prudemment le dictionnaire Robert) est un état mouvant aux limites imprécises. Comme institution, elle va de la naissance à un âge fixé par décret. On dit « enfants », « adolescents », ou « jeunes » selon les besoins de la cause. La Loi dit « mineurs », et c’est la seule expression claire.<br>Les sociétés modernes ont légalisé une discrimination fondée sur une différence de force musculaire. Mineur signifie : moindre. Plus petit. Inférieur. Lesdits « enfants » sont un ensemble d’humains plus faibles au combat au corps à corps, constitué par les plus forts en catégorie, et soumis à un statut et à un traitement spéciaux.<br>Le statut est la privation de l’autonomie.<br>Le traitement, appliqué par l’autorité adulte, à laquelle les mineurs ne peuvent se soustraire, consiste à éliminer du potentiel inné les éléments indésirables, incontrôlables, ou (...)
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=39}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20150202={{Extrait|id=6666619|L’honneur de la nature humaine, dans les êtres les plus ténébreux, est d’avoir des zones de lumière qui semblent confirmer son origine spirituelle.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=3|page=84}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20150203={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
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Version du 5 février 2015 à 14:57