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zzzzzzzzzzzz
Ses deux accroche-cœurs se cambraient sur ses tempes :
on eût dit des scorpions.[1]
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- ↑ « L’accroche-cœur », traduction de Vincent Monteil, in Abû-Nuwâs, Le vin, le vent, la vie, Paris, Sindbad, 1979, p. 105.