Modèle:Refnote
- Utilisation
[[#refnote-{{{1}}}|x]]
- Syntaxe
{{Refnote [|group= ] |label [|texte de la note]}}
- Paramètres
- label : identifiant unique de la référence dans un même groupe (en général un chiffre ou une lettre)
- group= : déclare un groupe de notes spécifique (optionnel), quand plusieurs groupes de notes avec les mêmes labels coexistent sur la même page.
- Exemples
Chapitre VI
Dans les hauts quartiers neufs de Rome, entre le Pincio et le Quirinal, des maisons achevées d’hier, neuves et presque délabrées, dont les boutiques demeurent closes, forment des rues désertes où le luxe impuissant lutte contre la misère. Et l’uniforme teinte ocre jaune de ces taudis tout neufs, même lavée de soleil, ne parvient pas à en dissiper l’aspect dépenailléx
- Utilisation
- Syntaxe
{{Refnote [|group= ] |label [|texte de la note]}}
- Paramètres
- label : identifiant unique de la référence dans un même groupe (en général un chiffre ou une lettre)
- group= : déclare un groupe de notes spécifique (optionnel), quand plusieurs groupes de notes avec les mêmes labels coexistent sur la même page.
- Exemples
Chapitre VI
Dans les hauts quartiers neufs de Rome, entre le Pincio et le Quirinal, des maisons achevées d’hier, neuves et presque délabrées, dont les boutiques demeurent closes, forment des rues désertes où le luxe impuissant lutte contre la misère. Et l’uniforme teinte ocre jaune de ces taudis tout neufs, même lavée de soleil, ne parvient pas à en dissiper l’aspect dépenailléModèle en boucle détecté : Modèle:Refnote.
Pierre et Jean longent des trottoirs où des femmes aux cheveux noirs, aux regards durs, aux traits rudes allaitent leurs marmots. Leurs marmots qui ont déjà ces larges yeux bruns par quoi les mioches de par ici deviennent, dès treize ans, de si plaisants gamins.
C’est la misère, la misère et la misère qui depuis trois, quatre, dix générations courbe ces pauvres êtres sous tous les jougs et les rend capables, l’atavisme aidant, de compromissions, lesquelles d’ailleurs n’atteignent pas leur pudeur abolie ni leur dignité qui en a vu bien d’autres. Quand il faut manger ils vendent des allumettes, des fleurs, des journaux, à moins que…
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Pierre et Jean longent des trottoirs où des femmes aux cheveux noirs, aux regards durs, aux traits rudes allaitent leurs marmots. Leurs marmots qui ont déjà ces larges yeux bruns par quoi les mioches de par ici deviennent, dès treize ans, de si plaisants gamins.
C’est la misère, la misère et la misère qui depuis trois, quatre, dix générations courbe ces pauvres êtres sous tous les jougs et les rend capables, l’atavisme aidant, de compromissions, lesquelles d’ailleurs n’atteignent pas leur pudeur abolie ni leur dignité qui en a vu bien d’autres. Quand il faut manger ils vendent des allumettes, des fleurs, des journaux, à moins que…