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Version du 31 mars 2016 à 14:02
Texte précédent : L’amour en visite (1)
Si tu veux voir un éléphant qui te fasse rire, tu n’as qu’à lui jeter une noisette. Il essaie de la prendre avec le bout de sa trompe : mais, dès qu’il approche celle-ci, l’air qu’elle souffle fait s’envoler la noisette. Alors l’éléphant rejoint la noisette et il recommence : et le souffle de sa trompe repousse à nouveau la noisette. Et l’éléphant continue ce manège sans jamais pouvoir attraper la noisette.
Ceci n’est pas une fable d’Ésope : mais une observation de psychologie animale qu’on peut lire dans le Kitab al-Hayawân (Le Livre des Animaux) de Djâhiz, qui fut écrit au neuvième siècle de notre ère très-chrétienne, en la bonne ville de Bassora (Irak). (La traduction que je risque est adaptée et abrégée.)
La première fois que j’ai lu ça, j’en ai ri à m’en rouler par terre et à en pisser partout. Un rien m’amuse — d’où mon amour des éléphants. (Surtout en rut.)
Et puis, quand on sait visualiser les choses qu’on lit, le gag que raconte Djâhiz vaut largement ceux de Tintin (mais qui rit en lisant Tintin ?) ou du bien-aimé Walt Disney.
À part ça, l’éléphant et la noisette ont un petit goût d’apologue. L’amateur de garçonnets qui lit cela se voit aussitôt dans le rôle de l’éléphant : et son léger amant, c’est la noisette.
Est-ce pour cette raison que, jadis, les hommes, princes et poètes, qui habitaient le monde arabe, et qui ont exprimé leur amour des jeunes garçons, nous ont dépeint des gitons si obèses ? Les joues comme des lunes, les fesses lourdes qui tremblent à chaque pas, les cuisses abondantes d’un dieu du blé et des viandes. Vénus aurignacienne ? Peut-être, mais par le cul, et moins la hargne femelle.
Le petit amant gros, enveloppé de graisse délicate comme un gâteau l’est de miel fin, a d’ailleurs un beau visage : large sourcil noir, œil d’enfant, cils de femme, joues de fruit, dents de lait (elles ont un reflet bleu), le sourire et les lèvres du bien-parlant. Et son trou est aussi petit que ses chairs sont rondes. En langage moderne, fat is beautiful. Celui qui n’a jamais eu d’amant gras ne sait rien du plaisir.
Cette passion des éléphanteaux était évidemment matérialiste : quel enculeur, à l’époque d’Abû Nuwâs (c’est l’illustre poète pédéraste qu’on voit aux côtés du calife Hârun al-Rashîd), aurait eu l’idée de baiser le petit cul maigre et nerveux des enfants de la rue ? Volupté signifiait abondance. Vous auriez donc escaladé des croupes pneumatiques, et foutu — d’un membre sec et dur comme une lance — le trou affolé, suant, palpitant, avide, infiniment bavard, de ces jolis gourmands qu’arrondissaient la graisse de mouton, les gâteaux et les huiles. Comme ces amants-là furent heureux !
Non, vraiment, les garçonnets que les hommes (y compris mariés : car c’était la principale forme d’adultère) choisissaient pour « aimés », en ces temps disparus, n’étaient pas des noisettes ! (Mais ne me répondez pas que c’étaient des citrouilles, sinon je ne dis plus rien.)
Dans la pédophilie moderne, le goût du gras n’est plus guère répandu. Le règne idéaliste de la minceur prévaut. À tel point que, lorsque Marcel Proust nous montre, friandise à transformation, les belles joues d’Albert(ine), nous voyons une gueule de boucher à couperose ou les larmes d’un cierge de huit kilos.
Je connaissais, quelque part à Baghdâd, deux frères, l’un avait onze ans et l’autre avait quatorze ans. Je ne les avais pas rencontrés ensemble. Car, si le petit aimait les hommes, le grand, lui, aimait seulement les touristes : c’est donc le petit que je connus d’abord.
Il me montra, au lit, des mœurs délicieuses et des passions riantes. Ce qui rend la « pédophilie » si convaincue, c’est que les bons gamins qui, plus curieux que des mouches, viennent visiter votre lit, se révèlent encore plus enthousiastes de vous que vous-mêmes, fous d’enfance, vous n’êtes enthousiastes d’eux. Tendres dévorations. Le petit croque, et le grand lèche. À croire que l’amour a été inventé pour nous.
Mais je ne l’enculais pas. Avec un gosse, on se laisse faire, on obéit. Et puis, un soir où il dort chez moi, il me dit (on était couché sur le côté, moi contre ses fesses, la queue entre ses cuisses) : « Nique-moi si tu veux. Mais tu me jures de le dire à personne ! ».
Je connaissais bien ces deux phrases-là. Je les avais souvent entendues. Comme, je pense, tous les enculeurs bon bougres. Parce qu’on n’enfile pas un gosse comme on bourre une chèvre. Les petits garçons ont facilement le cul en feu (y a pas qu’eux), mais ils attendent de vous aimer beaucoup, camaraderie, confiance, chaleurs secrètes, avant de dire : « Fais-le moi si tu veux ».
Mais j’ai d’autres idées. Je n’ai pas profité de l’invitation. Je connais trop les anus. Et le sien était à la fois proposé (il savait à quelle grosse queue) et serré. Au contraire, un garçonnet de Baghdâd qui brûle de vous avaler votre queue d’homme — je le savais de très longue expérience — a le trou aussi décontracté, je n’ose dire gorge ouverte, que s’il se préparait à chier une énorme crotte. (Et j’ai été ce garçonnet avant d’être cet homme.)
Alors j’ai compris que je lui ferais mal, que ses tendresses anales étaient dans sa tête mais pas dans son cul, et voilà.
C’est vertueux à ne pas croire, cette histoire-là : mais le bonheur rend doux. Et je parle de ce drôle d’écolier qui avait l’œil plus gros que le ventre, parce qu’il est le seul gamin un peu rondouillard que j’aie encore connu. Pas gras, hélas : charnu, seulement. Son jeune grand frère, quand on se mit à faire l’amour à trois, le petit petit dans ma bouche et le petit grand dans mon cul, se moquait des fesses du frangin. « Il a un gros derrière ! » s’écriait-il, ravi.
Ce n’était donc pas moi qui avait inventé cette pauvre modernité du corps ; cet adolescent hétéro, à peine haut comme ça, qui me faisait manger, son œil élargi de curiosité, un foutre frais, crémeux, vanillé, que je lapais sur son ventre, ce joli enfant, svelte et nerveux comme une chèvre, méprisait les rondeurs énergiques de son coquin de petit frère. Il ne s’agissait même plus de gras (il n’y en avait aucun) : ça devenait des obsessions de volume. Même plus le droit d’être charnu. Un mec « bien », c’est la peau et les os.
Entre les culturistes genre « criée de la boucherie » et les sacs d’os élégants, quels beaux bleus, quelles belles ecchymoses, l’amour va nous faire ! La pudibonderie (l’horreur de la chair telles que, dans leur diversité infinie, les chairs peuvent être) n’a pas fini de nous flanquer des gnons. Et toute conviction, et au lit, et « beauté » à l’appui. L’amour, an 2000, sera cette raclée que s’infligent deux corps « parfaits ».
Mais j’en reviens à mes éléphants et mes noisettes.
À Baghdâd, moi, j’étais résident. J’habitais, bien sûr, un palais des Mille et une Nuits, et, en tout cas, dans le quartier que j’avais choisi, il n’y avait pas un seul Européen à un grand demi-kilomètre à la ronde ; deux ou trois dans un rayon d’un kilomètre. Mais j’allais « en ville », et rien ne m’intriguait davantage que les comportements, vraiment curieux, de mes confrères pédés. Pédés et français. Je parlais de Tintin tout à l’heure : le touriste pédé français qui, avec ou sans l’aide de monsieur Trigano et de ses « Gentils Organisateurs », s’en vient passer trois semaines dans l’une des mille Baghdâd de la terre, ressemble décidément au professeur Tournesol et aux Dupont et Dupond. Foui, il se plante.
Quand je voyais l’un de mes petits camarades s’acoquiner avec un touriste, j’étais impatient qu’il me raconte comment ça s’était passé. Les récits ne me satisfaisaient pas : les garçons qui aiment l’amour physique (je n’en fréquente pas d’autres) sont d’une gentillesse infinie, et ils ravalent même les humiliations qu’ils subissent. À Baghdâd, le seul pédé que ces garçons — qui n’étaient pas du tout des prostitués, de choc ou pas : trop petits, et trop lascifs ! — ont « puni », c’était un sale gros con raciste et richissime, donc avare, si dégoûtant qu’à la fin, écœurés, les gosses qu’il utilisait ont tailladé les pneus et cassé les vitres de sa voiture. Une nuit où il n’était même pas dedans. La patience de ces garçons, face à ce genre de mec que je mettrais en bouillie pour le moindre geste dédaigneux, le moindre mot autoritaire, qu’il aurait envers ces enfants, la patience et la douceur des victimes de ce « pédé-colonialiste » m’ont bouleversé. Je l’aurais assassiné : ils ont seulement abîmé sa voiture.
Ce cas limite mis à part, c’est vrai que mes compatriotes, dans leurs relations avec les « mineurs » de Baghdâd, me déconcertaient. De toute ma vie, je n’avais jamais imaginé que les amoureux des jeunes garçons puissent[1] les traiter avec mépris, avec sans-gêne, comme un maquereau qui dresse une pute ou comme une maman qui élève un mioche. Je croyais que l’amour pédophile était différent, et j’avais observé sur moi-même qu’il pouvait rendre bon le plus méchant des hommes.
Je m’étais trompé. Mes semblables en pédophilie n’étaient pas assez mauvais pour que la simple gentillesse d’un gosse les améliore. Je vis des salauds qui se tapaient sèchement des gamins, et qui en ressortaient tout fier d’avoir marchandé le trou, la bite, de les avoir eus à bas prix, comme un tapis, une aiguière, un plateau de cuivre, peur d’être volés, ils vous vendent tout trop cher pour ce que ça vaut.
Je me rappelle en particulier trois tantes, qui parlaient, oh le français exquis, on aurait cru écouter France Culture, ça chochotait, cocotait, popotait, uh uh, ah ces dames froufrou qu’ont des lettres, ils étaient, les tantes, à une table près de la mienne, une terrasse de café en fin d’après-midi. Une de ces tantes, trente ans, très salon de thé, jean blanc, chemise cow-boy, s’écria :
« Moi, je ne leur donne que cinq francs ! Ah pour ce qu’ils font c’est déjà bien payé ! »
Les autres cucutes gloussèrent pour approuver.
Quand on est aussi coléreux que moi, il faut qu’un désespoir extrême vous paralyse, pour ne pas se lever quand on entend ça, et ne pas casser la gueule à ces pédales.
J’étais désespéré, je me retins. Mais je compris, mieux que jamais, que les pédés français n’avaient rien à foutre à Baghdâd. En étudiant plus finement certains échantillons de touristes homosexuels, entre ceux qui désirent les petits garçons, je découvris cet invariant de leur esprit :
« Ah ! l’Enfant, l’Enfant, l’Enfant ! La première communion, les petits anges blonds, Les amitiés particulières, cu-cu-cu-cu-cu-cu-cu-cu-pi-pi-pi-pi-pi-pi-pi !… Petites fesses roses et petits genoux blancs, Jésus en sucre, Sainte Vierge, ô la maman qui n’inceste pas ! Ces petits chouchous mimis, blonblonds roseroses, la mourtoujour. Ma mourtoujour à moi, chou-chou mimi, cucul blonblond. »
(Je résume…)
Des gens qui avaient cette prière-là dans la tête, tels une madame Bovary veuve qui, gorgée du Dictionnaire des idées reçues, n’eût eu pour idéal qu’un Rodolphe à boucles et impubère, des gens semblables, dès qu’ils quittaient la froide France pour se goberger au soleil des nations méditerranéennes, étaient en peine de dénicher là le petit communiant de leurs rêves. J’aurais presque attendu qu’un de ces pédophiles me confie, les larmes aux yeux :
« En France, on ne peut rien. J’ai peur. J’ai vécu un immense amour malheureux. Un enfant blond, extraordinairement beau, il était ceci, cela, ceci, cela. J’ai seulement osé, une fois, lui embrasser une joue. Le feu m’en brûle encore ! Son extatique pureté m’extatiquait purement, je le jure ! Jamais je ne lui ai touché le…, ni même le…, et encore moins le… Hou hou, Sainte Vierge, que ce fût été sale ! Tony, c’était notre amourmour purpur. C’est pas de ma phôte si que je suizun phou d’Hanffansse »
J’aurais compati. Il aurait continué :
« Et voilà. Voilà à quoi j’en suis réduit. Je passe mes vacances à Baghdâd. Oh certes, les Henfants de Baghdâd, ils sont sans tabous, mais ils ne sont ni blonds, ni bourgeois, ni cathos, c’est pas l’amourmour purpur, chaque fois c’est une immense amertume. Tu comprends ce qui est atroce ? Je vais tripoter un de ces bougnoules qui pensent qu’au fric, ça me soulage, après je rentre à l’hôtel relire Roger Peyrefitte. D’ailleurs lui-même a écrit que c’est trop facile de faire l’amour avec des garçons arabes, c’est méprisable. Et je pleure !… »
Au fait, que celui qui, parmi vous, fréquente chaque année tel ou tel pays du Maghreb et qui sait plus de dix mots d’arabe m’écrive : il mérite une statue.
Là où je veux en venir, en effet, c’est à ceci : nos pédophiles frustrés partent en vacances dans toutes sortes de pays où, leur a-t-on dit, c’est facile. Et ils emportent dans leurs bagages toutes les conneries racistes et xénophobes, toute la vanité petite-bourgeoise, tous les fantasmes Jésus-que-ma-joie-demeure, qu’ils ont cultivés pendant onze mois de constipation ès-France.
Il ne leur vient pas à l’esprit que si, dans le pays où ils vont, c’est facile, c’est parce qu’ils sont ailleurs. Et réellement le plus tendre pédo, qui pleurniche tout un soir dans son oreiller parce qu’il a aperçu, à Paris, quelque gamin mignon dans l’autobus, se métamorphose subitement en micheton dégoûté qui visite un harem de chiens dès que, la Méditerranée traversée, il a affaire à des gamins qui disent oui mais qui disent oui parce que, de toute leur immense et minuscule existence, ils n’ont jamais su que c’était interdit qu’on fasse l’amour avec eux. Le pédophile français parti en vacances là-bas a souvent un côté séminariste lâché en plein Pigalle. À la fois il convoite atrocement les créatures de perdition qu’il aperçoit, et à la fois il s’en consterne. Jésus susucre, mon rose et bleu, où te trouverai-je, entre tous ces païens ?
De sorte que le cynisme pédophile que je signalais (« cinq francs, c’est tout ce que ça vaut ») repose sur un idéalisme déçu. Nos pédos s’en vont vivre, avec des sauvages, La faute de l’abbé Mouret, dans un Paradou que peuplent les palmiers ombreux et les chameaux sournois, et ils reviennent de là tout glacés de n’avoir pas tripoté le petit Jésus. Ils donneraient leur vie, leur fortune, leur immense cœur, à n’importe quel garçonnet qui appartiendrait à leur panthéon rêvé de l’Henphanzzze, mais les petits ratons, c’est pas des vrais gosses, ça ressemble à des gens comme vous et moi, ça ne vaut que cinq francs.
Ce qui est drôle (car il y a des choses si immondes qu’on n’aura jamais assez de larmes pour en pleurer : alors on ricane), ce qui est drôle c’est que les pédérastes en question ne se disent pas du tout : « Eh ben, dans ce pays, y a pas de zenfants susucre, même pas un seul qui a les yeux bleus, je rentre chez moi ». Non. Ils restent. Ils s’envoient des mioches quand même. Ils s’amusent à en promener par la main. Ils leur font des frôleries, des mignardises, zozoteries, pinsonades, mèrepoupoules, tétonneries, tels des louves qui, faute de louveteaux, en sont horriblement réduites à cajoler des hommes.
Après qu’ils ont fait leurs petits jeux touchants de mamans à bite, leurs scénarios particuliers, intimes, tels qu’ils les avaient construits dans leur solitude habituelle, ils consomment la bienveillante poupée, le p’tit bougnoule. Et cinq francs.
Puisque, dans mon pays, je ne peux pas vivre mon-grand-rêve-d’amour avec l’Hen-phan éternel que qui dont auquel, je me tape du petit Arabe mais sanaçouvipamongranrêved’amour.
Pour dire que ce qui rend le pédo en vacances si con, si monstrueux, ce n’est pas un racisme, un colonialisme, c’est plutôt sa façon d’exporter, dans une civilisation qui n’est pas la sienne — et qu’il est totalement incapable d’aimer et de comprendre —, les fantasmes bornés, les rêveries indécrottables, qu’il caresse dans sa tête comme un puceau renifle son slip.
Mais, puisqu’ils en tripotent, ils en sucent, ils en enculent, de ces petits gosses tout bruns et malheureux comme le soleil et qui n’aperçoivent jamais la méchanceté de personne, puisqu’ils les découvrent, nos pédos, ces enfants vraiment tels quels, comment se fait-il que cette révélation ne leur dessille pas tes yeux ? Je comprends qu’un pédophile pas très hardi, en France, puisse cultiver dans son cœur une imagerie saugrenue et bébête de l’enfance. C’est l’imagerie des familles elles-mêmes, c’est les enfants qu’on nous flanque à la gueule pour nous prouver que l’Enfance-c’est-pas-touche. Mais là-bas, dans les lumières et les poussières des vraies vies, parmi ces gosses qui ne sont pas des « Enfants », mais simplement des hommes trop petits, trop faibles pour avoir seulement le droit d’être n’importe quel homme, parmi eux, et dans l’éclat bouleversant de leur rire, de leur détresse et de leur beauté, comment s’accrocher aux illusions imbéciles que nous avions sur l’Enfance, comment croire encore aux croyances que nous avons apprises dans le mouroir d’enfants — la France — où nous vivons ?
J’ai peur que trop de pédophiles, à travers leur amour de l’enfant, ne fassent que se branler leur sinistre nombril. L’amour des gamins a, chez nous, longue figure, et lugubre, et morose. Impuissante, révoltée, dégoûtée, dès qu’un gosse, un vrai, un gosse de là-bas, prend cet amour à la lettre. Ce gamin, ce martien, qui vous dit, de toute sa personne : « Je suis pas un enfant. Je suis moi. »
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Notes et références
- ↑ C’est ici que se terminait la deuxième partie et que reprenait la troisième. Avec une légère correction : « je
n’avais jamais supposé » changé en « je n’avais jamais imaginé ».
Il faut noter d’ailleurs que si les deux textes s’enchaînent, ils n'ont pas été écrits en un seul jet, puisque dans le n° 32 Tony a fait publier un mot où il s’excuse de n’avoir pu livrer sa chronique dans les délais, pour cause de surmenage, et conseille de la remplacer par des photos.