« Quand mourut Jonathan (18) » : différence entre les versions
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Dernière version du 8 juin 2016 à 17:54
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Ils dessinaient souvent ensemble. Jonathan sortait ses plus grandes feuilles blanches, grandes comme la planche à dessin ; et, chacun armé d’un instrument épais ou mince, noir ou de couleur, pêché au gré de l’inspiration, ils griffonnaient. Écriture, images, histoires enchaînées chacun son tour comme on joue aux cartes, bavardages malicieux et obscènes où le dessin n’était qu’un accompagnement, énigmes burlesques, composées en silence et qu’il fallait résoudre, Jonathan et Serge se faisaient naïvement l’amour.