« Paidérastie » : différence entre les versions
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Paidérastie est donc un synonyme strict d’''amour des garçons''. Ce mot a l’avantage de ne préjuger en rien ni de l’âge du garçon, adolescent ou pré-adolescent, ni du mode de relation sexuelle, lorsqu’il y en a. | Paidérastie est donc un synonyme strict d’''amour des garçons''. Ce mot a l’avantage de ne préjuger en rien ni de l’âge du garçon, adolescent ou pré-adolescent, ni du mode de relation sexuelle, lorsqu’il y en a. | ||
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* Féray, Jean-Claude. ''Grecques, les mœurs du hanneton ? : histoire du mot pédérastie et de ses dérivés en langue française''. – Paris, [[Quintes-Feuilles]], 2004. | * Féray, Jean-Claude. ''Grecques, les mœurs du hanneton ? : histoire du mot pédérastie et de ses dérivés en langue française''. – Paris, [[Quintes-Feuilles]], 2004. |
Version du 5 mai 2011 à 13:27
n.f. synonyme d'amour des garçons.
Le mot pédérastie ayant eu, au cours de son histoire, de multiples significations implicites ou explicites, dont celle de pédication due aux médecins légistes (d’où l’emploi du mot pédérastie à propos de coït anal exercé par l’homme sur la femme ou sur un animal, notamment le chien) cette graphie, attestée en français au XVIIe siècle[1] a été proposée comme un retour au sens originel du mot.
Paidérastie est donc un synonyme strict d’amour des garçons. Ce mot a l’avantage de ne préjuger en rien ni de l’âge du garçon, adolescent ou pré-adolescent, ni du mode de relation sexuelle, lorsqu’il y en a.
Le son ai se distingue du son é en phonétique française, de sorte que la différence entre pédérastie et paidérastie devrait pouvoir être audible, tout autant que la différence entre un dais et un dé.
Notes et références
(1) Théophile de Viau - Apologie pour Théophile in : Les œuvres de Théophile : divisées en trois parties. 1656. p. 290.
- Féray, Jean-Claude. Grecques, les mœurs du hanneton ? : histoire du mot pédérastie et de ses dérivés en langue française. – Paris, Quintes-Feuilles, 2004.
- ↑ Théophile de Viau - Apologie pour Théophile in : Les œuvres de Théophile : divisées en trois parties. 1656. p. 290.